Capsule vidéo youtube du 27 Juin 2018 En cette ère actuelle, tout
participerait à la non écoute de notre meilleure guide : le corps. Pourtant,
les sensations internes donneraient systématiquement le bon tempo dans la
régulation des expositions aux peurs. Ainsi, les tensions indiqueraient des
résistances et elles demanderaient un recul transitoire dans la relation. Les
envies, l’amour inconditionnel (non égotique) marqueraient, au contraire, un
élan tourné sur l’extérieur à entendre.
Ainsi, les forces d’attraction et de
répulsion seraient des indicateurs constamment présents en l’homme. Elles
seraient donc les indices essentiels afin de gérer adéquatement les
allers-retours dans la confrontation aux peurs. Avez-vous constaté combien tout
est fait, dans ce monde aveuglé, pour que l’homme remette son pouvoir de
guérison à un tiers extérieur plutôt qu’à son corps ? Pourtant, pas une prise
en charge depuis 20 ans n’a disconfirmé un constat objectivable : la
solution serait dans le symptôme. Ainsi, le sauveur serait interne. Il ne serait
pas externe. Le symptôme contraindrait à l’aménagement du nouveau cadre fonctionnel
lorsque la personne serait en difficulté pour le mettre en place volontairement.
Au travers des vidéos de systémique, cette mise en relief a été démontrée au
travers de nombreux exemples cliniques. Pas une seule observation relationnelle
exhaustive n’a pu infirmer ce fait dans ma pratique.
Ainsi, le bon aidant ne serait pas
celui qui sait à la place du souffrant. Il serait plutôt un partenaire à
l’écoute décortiquant le symptôme dans son contexte d’apparition afin d’en
trouver le sens structurant. L’aidant et le souffrant partageraient dans des
échanges de cœur afin de découvrir ce savoir guérisseur inscrit au cœur des
troubles.Ainsi, leur travail pertinent
de partenariat consisterait à être attentif au message du vrai sauveur :
ce corps qui est aussi le véhicule de l’âme. Dans un symptôme se densifiant, il y aurait le
réveil de plus en plus marqué d’une âme étouffant et aspirant au retour à
l’équilibre. Plus le symptôme grossirait, plus l’âme se rebellerait pour hurler
et contraindre l’homme à prendre les bons codes du bien-être. Ainsi, la tension
du symptôme pourrait imposer la paralysie dans un premier temps pour entraver
la poursuite des schémas dysfonctionnels. Dans un second temps, la nature des
contraintes obligerait également la résolution progressive du problème
singulier. En effet, le handicap vécu, dans un contexte précis, induirait la
reprise du bon tempo dans le partage relationnel entre amour de soi et amour de
l’extérieur (exple : sciatique, phobies, tocs, dépression/ voir premières
vidéos de systémique).
Ainsi, que devrait penser les "âmes" jumelles de
cette invitation extérieure récurrente afin de les encourager à ne pas écouter
leurs tensions et leurs sensations internes ? Bloquer le mental
signifierait bloquer le récepteur des tensions et des élans du corps qui
indique les mouvements équilibrés à suivre. Anesthésier le mental, au travers
de diverses techniques d’endormissement psychique, serait alors se priver de la
solution au bien-être. Je vous laisse faire la liste de
toutes ces pratiques de détente reposant sur la paralysie du mental :
exercices respiratoires, Tao intégratif, Qi Gong, drogues chamaniques, transe
au travers de danses et de musiques, sports extrêmes, hypnose, méditation,
relaxation, techniques d’endormissement, relaxation, yoga, emdr, eft, focalisation
sur l’instant présent, visualisations, traitements médicamenteux, jeun, libération
émotionnelle excessive.
Ces techniques peuvent soulager transitoirement
l’homme de son stress. Toutefois, il est essentiel de réaliser que ces tensions
ont du sens. Ces tensions sont là pour informer et aider la personne à
reprendre des codes relationnels plus fonctionnels. Les résistances internes
induiraient en effet des problématiques relationnelles à résoudre. Ainsi, le
souffrant tenterait, par des techniques corporelles et superficielles,
d’endormir un mal relationnel plus profond. L’homme utiliserait son corps pour
étouffer les signaux protecteurs que ce même corps lui aurait donné en
amont ! Quel triste paradoxe ! Et pourtant, ce serait une vérité
démontrable. Dans l’après coup de ce moment de détente artificielle, le
souffrant verrait alors ses douleurs resurgir et s’accroître. En effet, le mal
ne pourrait s’éteindre que furtivement pour mieux réapparaître. Les
déséquilibres relationnels, source du stress, n’auraient pas été élaborés. Ils
se manifesteraient, à nouveau, sous forme d’une recrudescence de symptômes
émergeants.
Bien sûr, dans les relations âmes
sœurs, ces techniques de détente externes ne seraient pas problématiques. Elles
pourraient être au contraire utiles car elles ouvriraient en conscience mais de
façon nuancée ! En effet, pour un Féminin non inscrit dans un lien âme
jumelle, le matériel traumatique à épurer serait plus signifiant et
paradoxalement protecteur. Ainsi, la personne lambda ne pourrait pas bloquer
son mental en raison des résistances internes plus importantes. La personne
(non inscrite dans un lien âme Jumelle) pourrait alors dérigidifier
certaines problématiques MAIS de façon progressive en raison d’un mental régulateur
impossible à paralyser. Dans le lien âme jumelle, le Féminin pourrait se
nuire en annulant les défenses instinctives et pertinentes de son ego. Le
Féminin âme Jumelle pourrait facilement endormir son Mental par sa capacité
à faire « le vide » dans sa connexion facile de cœur. Dans cette
configuration particulière, le Féminin âme Jumelle hypersensible (bloquant
volontairement son Mental) n’aurait plus de protection face à des tensions rentrantes
non détectées et signifiantes en haute conscientisation.
Capsule vidéo Youtube du 23 Juin 2018 Ainsi, Lilith aurait été encore plus
frustrée que les Féminins actuels de devoir endosser la responsabilité de ce
travail premier et essentiel d’affirmation dans ce lien ambitieux. Dans sa
double polarité, Lilith n’aurait pas accepté de se mettre au service de son
compagnon de même essence unifiée qu’elle. Elle ne pouvait pas se mettre en
position complémentaire d’Adam car les deux revêtaient la même nature
énergétique et non dissociée. Cette position créatrice et accueillante de
Féminine devait s’étayer sur un Masculin aux fonctions essentielles mais
opposées aux siennes. Eve et Adam auraient été ces deux
créations remodelées à partir d’un modèle d’Adam et Lilith imparfait. Le Divin
n’aurait pu raisonner la femme Lilith yin introduit dans un monde yang.
Celle-ci aurait été dans l’impossibilité d’emprunter les codes du partage et de
la nuance yang afin de revenir auprès d’Adam. Sa nature propre d’être unifié ne
lui permettait pas ce retour en arrière. Adam n’aurait pas été celui qui se
révoltait car il n’avait pas à assurer les mêmes fonctionnalités dans un corps
d’homme. Le couple partageait la même essence unifiée. Toutefois, le corps de
femme de Lilith l’aurait contrainte à assurer la fonction plus mentalisée, plus
volontaire et plus réceptive du dans le système du duo. Ainsi, elle aurait
davantage été soumise aux difficultés consciente d’apprentissage relationnel
des mondes yang dans un premier temps. Elle aurait davantage été confrontée à
l’ambivalence entre égalité énergétique et inégalité fonctionnelle entre elle
et son compagnon. Lilith aurait dû se dissocier entre sa réelle nature unifiée
et une position asymétrique du lien dans la matière. Dans sa partie consciente
et à l’initiative des avancements, Lilith aurait réalisé plus rapidement
qu’Adam la dissonance entre leur essence yin et leur rôle yang. Elle aurait fui
rapidement ce déséquilibre en cherchant à transformer le monde yang en monde
yin pour résoudre le problème. Ainsi, Lilith se serait entêtée à vouloir
changer son environnement plutôt que sa nature énergétique. Elle aurait
souhaité, dans une toute puissance, unifié ce monde yang plutôt que de
retourner auprès d’Adam. Ainsi, elle n’aurait pas accepté d’entendre la volonté
de son créateur et de corriger le déséquilibre. Après tout, Lilith aurait pu devenir
cette Eve nouvelle si elle avait entendu l’appel de retour du divin. Elle
aurait dépassé et accepté son imperfection première pour s’ajuster et devenir
de nature yang. Dans cette volonté à changer le cadre yang en cadre yin dans ce
monde polarisé, Lilith aurait défié toutes les lois de l’univers. Elle aurait
voulu se faire plus imposante que les codes de l’existence. Même le Divin
aurait accepté ces règles énergétiques pour continuer d’explorer le monde
manifesté.
Lilith, par contre, aurait été en
rébellion par rapport à la création. Elle prétendrait ne pas avoir à changer sa
nature énergétique et modeler son environnement de matière yang à ses codes
angéliques obscurs yin. Ainsi, elle voudrait transformer ce monde polarisé en
un monde unifié. Elle voudrait amener le ciel sur la terre. Comme le symbole
systémique yin et yang le met en relief, cette dynamique universelle est anti-naturelle.
Les éléments yang n’appartiennent pas à l’espace yin. C’est une condition
essentielle à l’équilibre de l’univers. Même le Divin se serait ajusté à cette
règle d’épanouissement de sa partie autonome et manifestée. Tous ces sectes new-âge, que l’on voit
fleurir à l’heure actuelle, appliqueraient ainsi les codes unifiés dans un
monde de matière. Cette volonté d’imposer les codes yin dans un monde yang ne
serait que la transposition de l’esprit rebelle de Lilith. Les anges déchus ne
pourraient jamais faire de cette belle matière leur lieu de vie en tenant en
esclavage l’humanité éternellement. Les lois de l’équilibre seraient bien plus
puissantes que ce que ces forces faussement divines veulent bien entendre. Dans
ce monde de densité, le temps serait un allié pour mettre en relief cette belle
vérité des lois homéostasiques. Même Dieu l’aurait compris très tôt en créant
Eve ! Simplement, le monde yang est un monde d’apprentissage. Il fallait
donc expérimenter suffisamment longtemps cette réalité pour l’intégrer. Dieu
laisserait ainsi régner Lilith et ses sectes le temps nécessaire aux prises de
conscience de l’humanité. La libération progressive et non fulgurante du
matériel traumatique serait une condition essentielle, dans ce monde yang, pour
dévoiler l’essence et l’équilibre de toute âme. Dieu le père transmettrait
graduellement à ses enfants de l’humanité (en respectant les codes yang) ce
qu’il aurait appris de ses erreurs premières de création. Les codes unifiés ne sont pas à appliquer
dans un monde polarisé. Même si le Divin avait respecté la constitution de deux
corps différents dans ce monde de matière, Adam et Lilith devaient aussi avoir
une énergie prédominante complémentaire. Dans premières ébauches de la
création, ce ne fut pas le cas. L’homme aurait été de nature unifiée dans ses
énergies. Ce qui aurait posé problème. Ne peut-on pas penser que même cette
erreur était une création parfaite du plan divin pour remonter à nos
origines ? En effet, je vous dis souvent que dans le symptôme, il y aurait
la clé du bonheur. Ainsi, ce matériel traumatique serait placé, sans aucun
hasard sur notre chemin pour nous révéler plus vite le vrai et le divin. Dans
ce monde de densité et imparfait, on apprend de ses erreurs et on est soumis à
un rythme changeant, non régulier dans les apprentissages. Même Lilith n’aurait
pas été créée par erreur afin de nous donner des indices bruyants de la loi de
l’équilibre et du bien-être dans ces mondes polarisés. Comble des
paradoxes propres à ce monde yang : ces forces sectaires et
« Lilithienne » activeraient la mise en lumière de beaucoup de clés.
Elles donneraient, involontairement et dans leur mise à nue de plus en plus
grossières, dévoileraient leur sens chaotique pour nous aider à revenir plus
rapidement aux codes de l’équilibre.
Capsule vidéo youtube du 23 Juin 2018 Dans des écrits non introduits dans la
Bible, Lilith aurait été la première femme d’Adam. Lilith aurait été créé à
l’image d’Adam sur un versant unifié yin avec deux pôles énergétiques confondus.
Ainsi, Lilith aurait été l’égal d’Adam à un niveau énergétique. Elle ne serait
pas sortie de la cote d’Adam contrairement à Eve. Lilith aurait été bipolaire
et non dissocié dans ses énergies alors qu’Eve aurait été d’énergie yang
prédominante. Ainsi, la création de Lilith, dans le
monde de la matière, aurait créé une anomalie et un déséquilibre des pôles. Cet
être yin dans ce paradis manifesté yang aurait fait intrus dans le décor. Le
monde polarisé demandait la création de deux corps de nature énergétique
différente pour introduire la dualité et la complémentarité. La sorite d’Eve de
la côte d’Adam ne symboliserait-elle pas alors cette césure entre le pôle
féminin et le pôle masculin.
Dans la Genèse, il est dit
que : "L’Eternel
Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit ; il prit une de
ses côtes, et referma la chair à sa place. L’Eternel Dieu forma une femme de la
côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme".
Ainsi,
du « yin primordial » qu’aurait représenté cet Adam « premier de
la lignée pré-adamique », l’énergie yin et yang secondaire aurait été
séparée. Adam « amputé de sa côte » aurait symbolisé ce yin
secondaire et Eve « née à partir de la côte d’Adam » aurait symbolisé
ce yang secondaire.
La Source aurait été amenée à corriger
son erreur d’avoir introduit des anges unifiés dans un monde de matière
polarisé. Lilith, en effet, n’aurait pu se soumettre à ces rôles
complémentaires définis entre elle et son compagnon. Dans sa position de
Féminine, elle aurait dû alors comme toute âme féminine acceptait les codes
linéaires propres à ce monde. Ces règles systémiques reposent sur la nécessité
du Féminin de s’engager dans un travail solide de création afin que le Masculin
la suive sur ce chemin méritant. Comme dans un système psychique, l’inconscient/Masculin
ne peut gérer sa part de matériel traumatique si en amont le conscient/ Féminin
n’a pas décidé courageusement de l’élaborer.
Le Féminin devrait donc se mettre au
service du Masculin pour faire un travail de partenariat complémentaire et créatif.
Lilith n’aurait-elle pas été cette première femme d’origine angélique en
difficultés d’accepter ces codes duels/partagés de par son essence unifiée ? Les âmes féminines auraient à l’heure actuelle cette même contrainte d’accepter
d’initier les élaborations douloureuses de la relation divine. Les Féminins se
plaindraient souvent de se sentir seule à défendre le lien pour que celui-ci
soit préservé. Ce ne serait qu’une illusion car le Masculin agirait dans
l’ombre pour porter le matériel traumatique et maintenir l’intégrité du système âme Jumelle. En tant que partie inconsciente, le Masculin ne pourrait toutefois pas
mettre en relief son travail tout aussi méritant.
Ainsi, Lilith se serait opposée à
servir Adam. Dans sa posture unifiée yin, il lui aurait été encore plus difficile
d’assumer ce rôle Féminin que les descendantes d’Eve. En effet, les âmes
féminines seraient déjà éprouvées de cette fonction affirmée yang à tenir
auprès du Masculin. Toutefois, elles présenteraient une énergie prédominante
complémentaire à l'âme masculine permettant un cheminement progressif dans
l’épuration de leur problématique relationnelle. Concernant Lilith, la
séparation avec Adam, suite à sa révolte identitaire, n’aurait pu aboutir à un
retour auprès de lui. D’essence unifiée et non dissociée dans ses pôles, Lilith
n’aurait pu gérer les conflits des mondes séparés dans un temps présent. Dans
ce monde de densité, la nécessité de séparer les énergies féminines et
masculines dans deux corps séparés seraient essentielles au traitement graduel
des problématiques relationnelles.
Lilith, dans ses codes yin, n’aurait
pu s’ajuster adéquatement aux codes du partage yang du monde de la matière. Eve,
de polarité yang aurait alors été créée par le Divin afin d’élaborer, par son
mental affiné, les difficultés interactionnelles de la création. Grâce à un
masculin portant le matériel inconscient lourd, l'âme féminine aurait
développé des habiletés intellectuelles signifiantes pour harmoniser le lien à
autrui au fil du temps. Aujourd’hui, il serait ainsi possible
pour les âmes de nature polarisée de gérer la séparation. Elles épureraient
progressivement et dans la complémentarité le matériel traumatique nécessaire à
leur réunion. Lilith n’aurait pas su gérer les contraintes spatio-temporelles de
ce monde de densité. Son essence yin l’aurait engagée dans des dynamiques
impulsives et non partagées entravant toute possibilité de retrouvailles avec
Adam. Ainsi, Lilith aurait été encore plus
frustrée que les Féminins actuels de devoir endosser la responsabilité de ce
travail premier et essentiel d’affirmation dans ce lien ambitieux. Dans sa
double polarité, Lilith n’aurait pas accepté de se mettre au service de son
compagnon de même essence unifiée qu’elle. Elle ne pouvait pas se mettre en
position complémentaire d’Adam car les deux revêtaient la même nature
énergétique et non dissociée. Cette position créatrice et accueillante de
Féminine devait s’étayer sur un Masculin aux fonctions essentielles mais
opposées aux siennes.
Capsule vidéo Youtube du 20 Juin 2018 Dans ce monde de densité, tout est
changeant sauf le changement. En effet, la création serait en constant
mouvement. L’homme travaillerait, de façon continue, le partage d’amour entre
lui et autrui. Il travaillerait sans cesse l’équilibre entre individuation et
partage relationnel. Ainsi, l’homme créerait en permanence du matériel
traumatique dans cet ajustement constant et imparfait. Il apprendrait toutefois
de mieux en mieux à s’approcher du 50/50. Le manque serait donc propre à ce
monde yang. Lorsque nous sommes à un endroit particulier, nous ne pouvons pas
être simultanément « ailleurs » dans ce monde partagé. Ainsi, l’investissement
ne pourrait pas être plein dans cette matière, il serait parcellaire. A force
d’isolement, le besoin de se tourner vers l’extérieur se ferait ressentir. De
même, lors d’une immersion dans le bain relationnel, il y aurait tendance à
vouloir retrouver, dans un après coup, son espace personnel. Le manque
s’exprimerait inévitablement soit au dehors, soit au-dedans puisqu’il n’y aurait
pas possibilité d’être aux deux endroits au même moment.
Les tensions seraient donc légitimes puisque
les contraintes temporelles interféreraient dans ce monde yang. De même les
facteurs spatiaux, dans ce monde partagé, impliquerait un travail d’équilibrage
constant entre dehors et dedans. Dans un univers polarisé, la répartition parfaite
et continue ne pourrait être établie. Chaque éloignement du 50/50 créerait des incomplétudes
et des souffrances. Ainsi, le matériel traumatique se manifesterait lorsque le
moindre déséquilibre entre les deux pôles s’exprimerait. Bien sûr, plus l’homme
évoluerait dans ses habiletés mentales, mieux il gérerait les dysharmonies et
plus il enrayerait ce matériel traumatique rapidement. Le manque, le désir, les résistances
ou les émotions seraient donc inhérents à ce monde spatio-temporel. Ces
sensations appartiendraient au monde yang. Les censurer en pratiquant le
détachement spirituel, dans des codes unifiés, ne pourrait qu’engendrer des
déséquilibres. Dans ce monde spatio-temporel, les forces répulsives et
attractives seraient dans des danses constantes pour s’harmoniser entre elles.
Leur interaction induirait le mouvement, les décalages et des tensions.
Le monde polarisé serait donc régi par
des oscillations entre temps de contractions lors des déséquilibres et temps de
décharge et de détente secondaires. Cette dynamique permettrait la libération
progressive du matériel traumatique. Le rythme cardiaque symboliserait d’ailleurs
le pouls du monde yang. Pour s’apaiser, ne doit-on pas pratiquer des
inspirations et expirations régulières ? Les passages à l’acte ou
l’orgasme représenteraient aussi ce mouvement de détente nécessaire et succédant
à un mouvement de contraction optimal. Dans cet optique, lorsque les
problématiques non réglées satureraient dans ce monde yang, elles indureraient
obligatoirement une décharge libératrice à long terme. Comme un élastique qui à
force de se tendre (sur ses deux extrémités polaires) lâcherait et retrouverait
un point d’équilibre harmonieux. Toute tension trouverait ainsi sa résolution
dans un mouvement intuitif d’extension secondaire et de protection de l’organisme.
Lorsque vous aimez, lorsque vous donnez un baiser, vous compressez bien la joue
de l’autre avant de la relâcher. Ainsi, le Soi authentique, dans ce monde
polarisé, s’exprimerait intuitivement par ce mouvement régulier et oscillant
entre forces d’attraction et force de répulsion. Le mouvement serait donc la
condition essentielle pour soulager les souffrances et manifester son amour
dans cet espace matérialisé.
Tout dans cet univers, du baiser à la
sexualité, du Masculin au Féminin, solliciterait l’interaction de ces deux
champs de forces opposés pour épurer le faux et incarner le vrai, notre essence
authentique. Ainsi, il y aurait une quête constante afin de revenir à
l’harmonie parfaite dans cette danse énergétique rythmée. Chaque manifestation
créerait, en effet du matériel traumatique, à neutraliser régulièrement par un
mouvement de contraction et de libération. Le symptôme ne condenserait-il pas
d’ailleurs, dans un premier temps, le stress périphérique (contraction) et ne
donnerait-il pas, dans un second temps, les codes fonctionnels à pratiquer pour
s’en libérer (détente) ?
Le désir succéderait au manque. Le
soulagement succéderait à l’effort. Le vrai succéderait au faux. L’intense succéderait au fade. L’émotion positive succéderait à l’émotion positive (après la pluie,
le beau temps). Ainsi, il ne pourrait pas être envisagé l’incarnation de l’amour
inconditionnel sans ce constant processus de mouvance entre deux forces
opposées. Dans ce monde yang cherchant son équilibre, tout serait changeant
sauf le changement. Il ne serait donc pas adéquat de
refréner nos émotions, nos désirs, nos attachements, nos manques puisqu’ils
seraient légitimes dans ce monde. Ils seraient les ingrédients indispensables à
notre bonheur dans la matière. Simplement, il s’agirait de mieux les gérer en
affinant nos compétences à équilibrer les deux pôles énergétiques de ce monde
manifesté. Ainsi, le matériel traumatique serait moins signifiant au fil de
l’avancement car son épuration serait davantage maîtrisée. De façon logique, l’homme retrouverait
sa flamme jumelle au fil de ses progressions. La moindre fragilité serait alors
réveillée et amplifiée par la flamme masculine pour être libérée. Ainsi, la
saturation optimale de la problématique serait rendue possible par sa mise en
relief excessive dans ce lien hautement vibrant. Tout serait parfait pour
induire ce mouvement de contraction et de relâchement nécessaire à la
libération du matériel traumatique le plus enraciné.
Plus le lien serait vibrant, plus il
serait possible d’extraire le matériel traumatique de la relation en le
pensant, en agissant et en s’affirmant graduellement et adéquatement. La
présence de l’autre ne serait plus ainsi nécessaire pour élaborer les
problématiques personnelles. La vibration d’amour incarnerait de plus en plus
l’homme. Son essence profonde prendrait progressivement de la force pour
étouffer ce qui n’est pas lui : la peur. L’équilibre vibrant du système
âme (incluant le duo de flammes jumelles) se stabiliserait au fil du temps et
enrayerait rapidement toute ré-émergence de dysfonctionnements. L’homme
incarnerait l’amour inconditionnel des mondes divins. Toutefois, le manque
induit par l’éloignement physique (dans cette densité) demanderait des
rapprochés physiques réguliers entre les deux flammes. Le désir, merveilleux
ressenti de ce monde yang, serait ainsi en permanence attisé par la dualité. Ainsi,
le désir et le manque se maintiendraient dans ce monde changeant afin de
découvrir le bonheur de toujours apprendre, d’évoluer et de vivre pleinement. L’intensité
des couleurs de la matière pourrait alors être goûtée en permanence grâce à ce
paradoxe déstabilisant de pouvoir vivre l’incomplétude régulière pour
toujours mieux progresser dans son bien-être.
Ainsi, le divin expérimenterait ce
qu’il n’est pas pour explorer, de la manière la plus étendue, les mystères de
l’existence duelle. Le divin découvrirait l’intensité des extrêmes et des
passions naissant des frustrations. Ces sensations ne pourraient, en effet, se
vivre qu’en expérimentant le manque transitoire pour revenir à un plein
orgasmique, pépite précieuse dans ce monde yang.
Capsule vidéo youtube du 16 Juin 2018 Au travers
des nombreuses vidéos de systémiques produites, l’essentiel du chemin était de
mettre en relief l’importance, en cet ère, que l’homme CERTES s’équilibre MAIS
progressivement. L’accès trop rapide au bien-être par des « techniques de
cœur artificielles » ou relevant des codes yin serait paradoxalement le
moyen de créer le malheur de l’homme yang.
Dans ce
monde de densité, l’apprentissage est graduel. Chaque ouverture de conscience
demanderait, en parallèle et au même moment, l’épuration concrète du matériel
traumatique créé par cet aveuglement nouvellement repéré. Ainsi,
l’harmonisation artificielle et immédiate des problématiques internes serait un
dispositif déstructurant à long terme. Par loi d’attraction, cette détente
interne réclamerait en effet un cadre extérieur harmonieux en adéquation.
L’homme serait alors soumis à des situations d’affirmation ambitieuses sur
l’extérieur pour parvenir à l’état de « zénitude » provoquée
faussement dans son être intérieur. Si l’individu cultivait dans son quotidien
cette tricherie spirituelle, il s’élèverait alors plus rapidement qu’il n’est capable
de le faire dans son cadre relationnel. Il ne respecterait pas les codes yang
de ce monde yang. Le monde du manifesté est, en effet, un monde spatio-temporel
où les conditions du rythme et de la séparation sont essentiels à prendre en
considération. Pratiquer les règles unifiés dans un monde séparé ne peut
qu’aboutir aux déséquilibres.
Chaque éveil
en soi réclamerait la libération et le traitement dans la matière de
l’information éclairée. Chaque prise de conscience nécessiterait un ajustement
comportemental éprouvant pour s’équilibrer sur l’extérieur. Chaque illumination
aurait un coût énergétique pour s’affirmer. Ainsi, l’équilibre interne devrait
s’acquérir progressivement afin de ne pas brusquer les épreuves signifiantes de
rééquilibrage externe. La recherche d’une résolution rapide des tensions ne
pourrait alors que s’exprimer dans le chaos et les conflits. Par comparaison,
une tentative de suicide est paradoxalement une défense de la psyché afin de
faire cesser, dans l’immédiat, une tension enkystée et devenue optimale. Le
corps est obligé de soulager au plus vite un trop lourd matériel traumatique
devenu impossible à contenir. Il n’a pas d’autres choix que de faire taire la
souffrance de l’âme par la tension 0 de la mort.
Dans la
logique d’éveil, les mécanismes défensifs seraient équivalents. L’homme
pratiquerait les codes unifiés en voulant trouver le bien-être
« instantanément ». Il provoquerait alors la libération radicale de
tous les traumas à traiter simultanément dans une posture d’affirmation
parfaite. Il ne tiendrait pas compte du temps nécessaire au démantèlement des
problématiques relationnelles dans ce monde yang. De la même manière qu’un
suicidant passerait à l’acte à un moment donné car il ne se serait pas engagé,
en amont, dans un travail profond nécessitant des mois, des années
d’élaboration. Le matériel traumatique cumulé se libérerait violemment comme
une digue sous pression lâche fatalement.
Dans ce
monde yang, la clé ne serait donc pas dans l’unité mais dans le respect de la
temporalité. Vouloir unifier, alchimiser un monde yang serait fusionner dans la
désagrégation.
Ainsi,
vouloir autant « spiritualiser » le monde des âmes jumelles, à
l’heure actuelle, devrait être interrogé par chacun d’entre nous. Il ne serait
pas sans sens et sans conséquence. Certes, ce dispositif anti-naturel serait
moins déstructurant pour les personnes non inscrites dans un lien âme
jumelle. Les âmes-sœurs, moins sensibles dans leur connexion intérieure, se
laisseraient moins piégées par les emportements du cœur. En effet, leurs
résistances internes seraient plus signifiantes. Elles porteraient davantage de
matériel traumatique leur permettant de rejeter plus facilement ces expériences
unifiées déstructurantes.
Ainsi une
personne, non inscrite dans un lien âme jumelle, s’endormirait rapidement
durant une méditation. Ses résistances la protégeraient. Elle pourrait
également avoir un malaise ou n’éprouvait aucun plaisir durant la séance. Elle
se démotiverait alors et elle ne pratiquerait plus. Le côté agréable ou
intéressant de l’expérimentation ne se ressentirait pas contrairement à des âmes trop facilement reliées à leur essence profonde. Les âmes seraient,
en effet, en fin de parcours dans leurs incarnations. Elles auraient épuré un
taux signifiant de matériel traumatique. Il y aurait donc moins d’effets
répulsifs et plus de ressentis d’attraction par rapport aux élans d’ouvertures
de conscience provoqués par la détente intérieure.
Toutefois,
ces âmes oublieraient d’être vigilante à un point essentiel. Elles peuvent
attirer autant d’ombre qu’elles ont de lumière. Si elles peuvent vibrer
facilement haut lorsqu’elles se connectent à leur monde intérieur, elles sont
moins protégées que les personnes lambda (moins sensibles et plus favorablement
endormies). Les féminins seraient des cibles privilégiées pour les énergies
négatives. En effet, les féminins seraient dans le dernier niveau du jeu. Ils
seraient capables d’être dans des ouvertures de conscience signifiantes
laissant s’infiltrer de bonnes comme de mauvaises doses d’énergies
environnants. Dans cette dernière étape du jeu existentiel, l’épreuve se
complexifierait. Les âmes jumelles auraient un mental plus affiné, moins de matériel
à libérer mais aussi les racines traumatiques les plus profondes et les plus
rusées à extraire.
Ainsi, dans
cette dernière étape du jeu à haute vibration, la moindre erreur aurait une
résonance amplifiée. Les âmes ne pourraient plus se permettre de ne pas
respecter le rythme d’avancement progressif de ce monde d’apprentissage yang.
Chaque montée vibratoire interne, sans ajustement affirmé dans le relationnel, ne
pourrait qu’être très déséquilibrant. Par loi d’attraction, il n’est ainsi pas
hasardeux de constater des phénomènes physiques et psychiques bruyants lorsque
les féminins pratiquent trop la détente intérieure en négligeant le lien à
autrui. Dans ce monde yang, la posture d’affirmation juste est rapidement
convoquée afin de permettre l’ajustement à ce niveau élevé du jeu. Les
Masculins libéreraient alors le matériel traumatique de manière importante dans
leur corps. Ils subiraient des somatisations signifiantes. Les Féminins
pourraient être également très impactés par leurs propres erreurs d’expression d’amour
lorsque leur chemin de vie leur ferait porter le surplus de matériel
traumatique du système âme jumelle.
Ainsi, même
les dispositifs non artificiels d’élévation sont à réfléchir prudemment. En
effet, faire une balade seule, se détendre naturellement, manger bio ne
seraient pas également anodins si ce processus d’amour induisait un
lâcher-prise intérieur sans considération de l’amour affirmé à donner à autrui.
Rapidement, des épreuves conflictuelles et d’affirmation juste s’exprimeraient
sur l’extérieur pour rééquilibrer une harmonie entre amour pour le dehors et
amour pour le dedans. La vie ne
laisserait rien au hasard. Ainsi, quand des résistances s’exprimeraient en
l’homme, elles se manifesteraient pour le protéger. Les âmes jumelles devraient
comprendre que cet état d’inconfort de mal-être leur indique un rythme modéré
afin de traiter la problématique réveillée. Dans ce monde yang, les résistances
seraient le baromètre permettant de donner le tempo pertinent d’avancement. Le
Mental serait cet outil indispensable et sensoriel permettant de respecter les
tensions dans leur dimension protectrice. Le Mental entendrait l’inconfort
provoqué par « notre ami » la résistance pour éloigner l’homme des
énergies négatives au bon moment. Le Mental serait également cet outil essentiel
permettant de se réexposer dès que l’amour aurait le dessus sur la peur.
Ainsi,
interrogeons-nous sur cette quête constante des "flammes" new-age à provoquer
leur déséquilibre dans des montées vibratoires qui n’auraient aucune raison
d’être. Dans ce monde yang, il n’est pas à accroître la connexion intérieure de
cœur. L’ère vibrante actuelle de la terre et de retrouvailles des âmes jumelles ont
déjà opéré ce mouvement. Par contre, l’homme aurait à ajuster sa posture
d’affirmation pour ne pas être dépassé par ce phénomène évolutif.
Quel sens
donné à ces dynamiques récurrentes de vouloir méditer, unifier, cultiver la
solitude et la déconnexion aux autres et aux réseaux ? Pourquoi insister à
purifier son eau, à avoir une hygiène alimentaire radical du jour au lendemain ?
Pourquoi orienter l’humanité vers une foi en l’univers et de faux dieux sans
encourager la foi en son libre-arbitre ? Pourquoi autant s’attarder sur
l’amour des autres et occulter la posture d’affirmation essentiel pour protéger
sa vie et son amour propre ? Dans ce
monde yang, l’équilibre entre amour du dehors et amour du dedans réclamerait de
l’homme une vigilance d’observation. Chacun devrait systématiquement réfléchir
dans ses gestes quotidiens à savoir s’il respecte les règles homéostasiques.
Est-ce que je donne autant à moi qu’à l’autre ? Est-ce que je respecte le
rythme progressif d’avancement ? Est-ce que je m’affirme autant que
j’aime ? Est-ce que j’aime et que j’honore autant mon ego que mon
âme ? Est-ce que je pratique les codes yang ou les codes yin laissant
accès au faux et aux énergies négatives ? Est-ce que je sors trop
rapidement des addictions ou de la dépendance affective ? Je rappelle que
tout sevrage doit se faire doucement afin de ne pas provoquer le déséquilibre.
Les "flammes" vibreraient haut. Elles sont hypersensibles et leurs pensées, leurs émotions
ont une résonance signifiante dans la matière. Qu’attirez-vous, par loi
d’attraction, lorsque vous déposez sur du papier votre colère ou votre
tristesse ? Interrogez-vous
encore sur ces techniques d’hypnose régressives où les pensées négatives ont
porte ouverte pour manipuler. Croyez-vous vraiment que ce sont des êtres
bienveillants qui apparaîtront dans des vaisseaux de « densité » sous
forme de sauveurs. Les anges ne pourraient nous atteindre que par la pensée et
l’intuition de par leur haute énergie. Dans ce monde partagé, le libre-arbitre
serait une donnée essentielle. Notre sauveur, ce serait nous-même. La Terre
serait particularisée par cette pépite de densité qui offre à chacun un
libre-arbitre complet et une intimité qui n’existe aucunement ailleurs. Pour
réussir le parfait équilibre entre le monde yin et le monde yang le plus
densifié (la terre), la condition de préserver le libre-arbitre des mondes yang
serait essentiel.
Ainsi, la
réussite de réunion des âmes jumelles ne pourrait s’opérer que si le libre-arbitre,
propre à ce monde, serait respecté. Personne ne viendrait élaborer nos
problématiques et s’affirmer à notre place, à moins que nous soyons en face d’êtres
rusés. Ceux-ci pourront abuser ou duper car ils appartiendraient aux mondes
yang ! Les êtres bienveillants des mondes yin ne pourraient que nous
approcher et nous soutenir dans le cœur et l’intuition car ils seraient loin et
ils appartiendraient aux mondes yin. Ils ne pourraient pas nous offrir leurs
outils yin car nous appartiendrions au monde yang. Comme je vous le dis souvent, les éléments de
l’espace yin resteraient dans l’espace yin pour respecter l’équilibre. Les
éléments de l’espace yang emprunteraient leurs propres richesses yang,
notamment leur libre-arbitre.
En
conclusion, il serait possible de déduire que l’avancée des hommes ne se ferait
pas sans leur libre-arbitre et sans effort. Le processus "âme" jumelle
mettrait en relief ce fait puisque chaque moitié d’âme aurait sa contrepartie
divine. Chacun ne rencontrerait toutefois son "âme" jumelle qu’en fin de parcours
lorsqu’un travail signifiant d’équilibrage entre amour de soi et amour de
l’autre aurait été fait. Au fil des incarnations, l’homme apprendrait
courageusement à évoluer dans sa posture d’affirmation juste dans les mondes
yang. En cette ère actuelle, l’homme serait à l’étape la plus élevée du jeu. Il
serait dans l’espace le plus densifié du monde yang. La terre serait plongée
dans une vibration 3 D qui se serait de plus alourdie de la chute d’Adam et Eve
à aujourd’hui. L’homme aurait, en effet, un mental des plus évolués dans les
mondes manifestés. Il aurait dû le développer intensément face à des situations
de plus en plus conflictuelles à gérer dans l’histoire de l’humanité.
Le cerveau
de l’homme se serait alors développé au fil des millénaires. La maîtrise
psychique des hommes d’aujourd’hui serait plus importante que celle des
Atlantes davantage ancrés dans une maîtrise spirituelle. Les hommes
contemporains auraient de nombreux cristaux dans la glande pinéale. Ces
structures cristallines pourraient davantage se former et s’activer dans un
être de mieux en mieux équilibré dans son mental.
Ces cristaux
de « magnétide » pourraient recevoir des fréquences électromagnétiques
et une source d’informations signifiantes provenant de l’univers. Ainsi, plus
l’homme développerait son mental et son équilibre relationnel, plus il aurait
accès à une connaissance lumineuse lui permettant de vibrer haut et léger dans
ce monde de densité. L’homme de
ce monde incarnerait alors la « Source » sur terre. Il serait capable
de créer bien plus grand que Jésus avait pu manifester lors de sa venue. Jésus
aurait appartenu au monde de cœur yin, comme dit dans le dernier article. Les
hommes yang seraient aujourd’hui dotés d’un mental évolué permettant d’étendre
l’amour équilibré et partagé dans tout l’espace yang. Ce mental permettrait
ainsi de vibrer haut pour rendre léger la densité de ce monde et ses objets les
plus concrets. Fait de cristaux, le corps pourrait alors peut-être léviter,
créer dans la matière, communiquer par télépathie tout en préservant
l’intimité, vivre l’intensité des émotions, des formes et des couleurs 3 D dans
l’individualité comme dans le partage relationnel. Bref, l’homme s’affranchirait
de la lourdeur de la densité pour ne vivre que ses richesses de partage dans
l’intensité de sa coloration. L’homme
serait alors souverain sur ce joyau de Terre en créant dans l’amour léger
(comme dans les mondes yin) tout en vivant profondément et passionnément
l’intensité des partages relationnels de cette matière dense.