mercredi 3 juin 2020

Les vagues se suivent mais ne se ressemblent pas !



Le 3 Juin 2020

Le Corps Divin incarné devait se réveiller progressivement au faux, à tout ce qui est miroir inversé dans ce monde. Plus l’homme accède à la réalité, plus il découvre que ce qui le fait souffrir provient d’une perception en logique inverse des lois d’équilibre de ce cosmos polarisé. Depuis la nuit des temps, les hommes traumatisés ont confondu le bien avec le mal, le vrai avec le faux, l’équilibre avec la manipulation, la rigidité avec la souplesse, les valeurs secondaires avec les valeurs fondamentales, l’authenticité avec l’artificiel, le mérite avec la facilité, le courage avec la lâcheté, le juste avec l’injuste, la cause avec la conséquence, l’extérieur avec l’intérieur et aujourd’hui en pleine aboutissement apocalyptique, l’homme déséquilibré confondrait virus interne et virus externe !

La pleine conscientisation de cette ère de réveil d’une minorité juste force les hommes injustes à faire face à leurs pleines responsabilités. Les hommes égocentrés ne peuvent plus faire porter leur matériel traumatique aux hommes éclairés et affirmés. Ainsi, une accélération énergétique en puissance confronte l’homme unifié et peu courageux à s’exposer à ses peurs polarisées longtemps évitées. Toutes ses problématiques ne peuvent plus se refouler dans un étayage excessif demandé à des hommes de cœur désormais réveillés. Ainsi, les rigidités et les abus de partage sont mises en pleine lumière car ils ne sont plus désormais camouflés par les hommes de partage. Tout s’exprime alors de manière grossière et fait trace pour que le faux et les codes déséquilibrés ne puissent plus « se cacher derrière les montagnes divines » (bible).

Lorsqu’une collectivité déséquilibrée  n’aurait pas le choix d’avancer et de regarder la vérité, le virus physique et psychique, interne et non pas externe, s’exprimerait alors logiquement dans des symptômes révélateurs : une insuffisance respiratoire, des phobies ou une méfiance excessive. L’homme égotique étoufferait car ils ne pourraient plus se nourrir auprès des systèmes équilibrés. L’homme abusif deviendrait agressif car il sombrerait dans la peur et le ressenti de sa fin prochaine. L’homme de mérite continuerait à être authentique et il ne pourrait n’accepterait plus camoufler les lourdes fragilités des systèmes dysfonctionnels.

Ainsi, le mal actuel ne proviendrait pas de l’extérieur. Il résulterait des fragilités intérieures de l’homme de peu de volonté s’étant mis en danger en cultivant les codes facilitants d’extrême rigidité ou au contraire d’extrême souplesse.  Permissivité ou rigidité, assistanat ou maltraitance, sacrifice ou abus, ces codes extrêmes aboutiraient aux mêmes conséquences lourdes de déséquilibre loin du 50/50. Lorsque le système de l’humanité se rapprocherait de plus en plus du 50/50 parfait, les déséquilibres seraient de plus en plus sévèrement sanctionnés énergétiquement par la vie. Seuls les hommes de mérite, minoritaires, seraient préservés par bouclier électromagnétique des agissements d’une majorité aveugle ou égocentrée.

Dans cette logique polarisée, le démontrable systémique révélerait un futur prochain qui ne tarderait pas à se manifester tel qu’il a été déduit mentalement dans un cœur et une raison solide. Nier la vérité ne l’empêcherait pas d’opérer. Bien sûr, les codes unifiés des voyants et des gourous ne seraient que des prédictions déformées et donc fausses de la réalité. Cependant, plus l’homme serait traumatisé, plus il aurait accès à la réalité en miroir inversé dans ces processus de cœur égotiques et facilitants.

L’évolution du bien et du mal dans ce monde actuel serait ainsi logique. L’homme de cœur et de mérite accéderait à toute la justesse de ce processus en cours aujourd’hui. Ce serait la clé pour accéder au paradis terrestre. Cette clé, l’homme de mérite l’aurait acquise au fil du temps en déployant des qualités de persévérance, d’endurance, de raison, de courage, de patience et de sagesse et ceci jusqu'au bout. L’impulsivité, la lâcheté et la facilité seraient propres au monde du temps présent non réfléchi. Ces fonctionnements unifiés n’aboutiraient à rien de bon. Même le Corps Divin incarné en aboutissement serait polarisé et répondrait ainsi aux codes temporels d’évolution sage. Il emprunterait le corps polarisé de Marie de Terre yang et du cœur Archangélique yin . Le yin unifié correspondrait à l’éternel dans son essence pure de bébé n’ayant pas encore expérimenté les sensations de la matière.

Le mouvement et le temps seraient alors les ingrédients indispensables à l’épanouissement du bien. Les hommes justes respecteraient ces codes de mérite induits par le courage de l’action et la patience de temps. L’homme serait acteur et responsable de son destin. Ainsi, sa haute conscientisation engendrerait des chamboulements magnétiques dans son environnement périphérique. Le film « la belle verte » est une de ces fictions retraçant une vérité fondamentale à décoder. L’homme juste insupporte l’homme égotique de sa simple présence et vice-versa. L’homme juste fait ressortir les dysfonctionnements et le matériel traumatique de l’homme déséquilibré de par le simple miroir de son regard d’âme éclairé. Lorsque le regard éclairé de l’éveillé rencontre le vide obscur du total aveugle, il est inévitable que cela fasse des étincelles magnétiques ! Cela chauffe et le climat émotionnel comme atmosphérique change. Beaucoup de processus seraient ainsi non perçus dans leur véritable ordre évolutif. Ainsi, le secondaire serait vu comme prioritaire. Tant qu’il y aurait du faux, la logique de miroir inversé opérerait. Plus la logique des systèmes révèle les vérités de ce monde, plus l’homme réalise l’impact important qu’il a sur son environnement. Du temps chaud/froid qu’il fait, des réactions de son prochain, des cycles lunaires, ce serait l’homme qui influerait en amont sur tous ces phénomènes. Ainsi, il ne serait pas ce petit être perdu dans un infini aux galaxies innombrables. Seul l’esprit divin serait infini et insaisissable. L’humanité, corps de matière du divin, ferait parti d’un univers limité et gérable dans ses actions.  Tant qu’il y avait du faux dans ce monde, le miroir inversé de la réalité faisait son œuvre. Bonne nouvelle, cette ère d’illusions s’achèverait grâce à la logique de cœur et de raison des hommes justes.

L’homme est responsable du monde qui l’entoure. Le danger provient non pas d’un étranger extérieur mais de ses propres fragilités non assumées. Ainsi, il n’y aurait que des virus internes et non externes. L’homme juste est protégé, dans ses défenses internes et immunitaires, des codes dysfonctionnels d’autrui. L’homme juste (de haute conscientisation) subirait les réactions effervescentes des hommes traumatisés fusionnant à l’effet magnétique de ses rayons éclairés mais il pourrait y survivre.  Ainsi, l’épuration du faux se ferait progressivement à force d’allers-retours graduels d’une collectivité obligée de s’exposer davantage à ses peurs et aux lois d’équilibre méritante. Certes, des vagues se suiveraient mais ne se ressembleraient pas. Elles se feraient moins bruyantes mais plus opérantes. Plus vous êtes conscients de la réalité, moins vous avez le droit à l’erreur. Au fil de l’avancement, les symptômes se déclencheraient plus rapidement pour éradiquer la moindre répétition dysfonctionnelle tentant de faire à nouveau surface sous le poids des habitudes faciles prises.

Ainsi, le mal s’évaporerait et s’éteindrait de manière discrète. Il n’ y aurait plus de bruit mais un silence bien inquiétant pour l’homme égotique. Il ne resterait plus que des "senteurs de soufre babylonienne" et un déni de l’homme égotique confondant le début et la fin d’un processus, confondant l’œuf et la poule. Sans mental solide, l’homme dysfonctionnel se livrerait à des interprétations erronées car il ne prendrait que les morceaux de puzzle de la réalité qui conforteraient ses approches rassurantes et égocentrés. Dans cette optique, il verrait tout en miroir inversé, il confondrait le bien et le mal, les causes et les conséquences. La désertification d’un monde animé et enjoué ne serait plus ainsi vue dans ses origines réelles. Ce dépeuplement ne daterait pas d’ailleurs de ces derniers mois. La désertification ne serait pas la résultante rapide d’un retrait phobique face à un danger ponctuel extérieur du temps présent. Elle serait le résultat d’un long parcours, en amont, de dégénérescence enflammée des cellules égotiques s’évaporant dans le cœur solide et pur du corps divin.

Ainsi, les vagues d’avancement deviendraient de moins en moins bruyantes et enrayeraient le mal de façon de plus en plus efficace et discrète. Les résistances au changement seraient en effet de moins en moins signifiantes. Les symptômes n’auraient plus le temps de se manifester afin de prévenir d’un mal déjà épuré dans son auto-combustion. Il n’y aurait plus besoin de soignants sacrificiels pour porter le matériel traumatique extérieur (non suffisamment épuré). Rappelons que Jésus semblait guérir les symptômes des hommes traumatisés ou fragilisés qui pouvaient de nouveau répondre aux demandes exigeantes de l'époque dans l’après coup. Cette dynamique mettait en relief le pompage d’énergie de cœur des systèmes de partage vers des systèmes plus égocentrés.