mercredi 2 mai 2018

Une double polarité du système d'âme ne laissant aucune place au hasard (partie 3)



Capsule vidéo ajoutée sur youtube le 02 Mai  2018

Ainsi, le quotidien de chacun serait traversé par des rencontres pouvant se déduire si nous maîtrisions toutes les données influençant ce monde. Chaque personne rentrerait ainsi en résonance avec des âmes partageant des dynamiques narcissiques communes mais en défenses inversées dans leur polarité. Dans ce grand jeu interactionnel, les influences particulières de chacun participerait à favoriser plus telle rencontre polarisée qu’une autre dans son chemin de vie singulier. 

Plus une âme vibrerait haut, plus elle pourrait faire bénéficier à d’autres âmes de ses avancements. L’accroche du lien se ferait sur quelques mêmes problématiques d’intensité équivalente à polarité défensive inversée. Ces problématiques communes feraient « aimant » pour que l’âme (vibrant haut) donne le modèle d’équilibrage sur d’autres champs d’exploration à l’autre âme (vibrant moins haut). De même, si une âme vibrait négativement sur beaucoup de points, elle pourrait tirer vers le bas d’autres personnes partageant quelques problématiques communes en défenses de polarité inversée.

Cette lecture systémique, par attraction des doubles polarités, nous laisse entrevoir combien chaque homme participe au destin de son prochain. Le libre-arbitre existerait donc. Il influerait non seulement sur sa propre histoire mais également sur le devenir de la collectivité. Les âmes jumelles constitueraient un exemple parlant de ce phénomène universel. Leur réunion apporterait un rayonnement vibratoire signifiant permettant à beaucoup d’hommes d’évoluer de manière manifeste.

Une double polarité du système d'âme ne laissant aucune place au hasard (partie 2)




Capsule vidéo ajoutée sur youtube le 02 Mai  2018

Cet effet miroir, à double polarité, serait plus manifeste chez les âmes jumelles. Les partenaires constitueraient une paire appariée. Ils présenteraient donc toutes les mêmes problématiques avec des dynamiques défensives complémentaires et de même intensité. Les âmes sœurs représenteraient une paire dépariée. Elles n’auraient donc pas des dynamiques complètes en miroir inversé. Elles ne souffriraient pas d’un ensemble des mêmes fragilités même si elles pourraient présenter certaines problématiques communes.

Ainsi, les âmes jumelles constitueraient de véritables traceurs permettant de mettre en relief que tout système est polarisé. La polarité féminine compléterait la polarité masculine de la même manière que la conscience ne pourrait exister sans l’inconscient. Lorsqu’une personne cheminerait avec une âme sœur, il serait moins aisé de mettre en relief la manière dont sa moitié répondrait en miroir inversée à sa dynamique. L'âme jumelle pourrait être, en effet, à des milliers de kilomètres sans qu’une rencontre ait eu lieu entre eux si trop de matériel traumatique les séparerait. La reconnexion se ferait lorsque beaucoup de problématiques communes au système âme jumelle auraient déjà été traitées par la Féminine. Le développement de la posture d’affirmation et d’amour inconditionnelle de la Féminine rapprocherait progressivement le duo. La haute vibration du lien permettrait alors de souligner cette logique polarisée de leur fonctionnement respectif.

Ainsi, toute énergie féminine et toute énergie masculine aurait un rôle spécifique, qu’elle soit avec son âme sœur ou son âme jumelle. Le Masculin porterait le Matériel traumatique lourd. La Féminine l’élaborerait. Les retrouvailles actuelles de beaucoup de duo permettraient de mieux comprendre la systémique d’un couple avec ses deux polarités masculine et féminine. Lorsqu’une personne serait avec une âme sœur, cela signifierait qu’elle ne serait pas avec sa vraie moitié. Elle n’effectuerait donc pas un travail d’épuration complet des problématiques du système âme Jumelle dont elle s’originerait. La personne travaillerait les problématiques partagées avec l’âme sœur mais elle ferait l’impasse d’un travail signifiant sur les fragilités non communes au duo.  C’est pourquoi les partenaires "âme-sœur" vibreraient moins haut en présence l’un de l’autre. Ils n’appartiendraient pas au même système d’âme à double polarité. Ils n’épureraient donc pas, de façon très signifiante, leur problématique narcissique. Ainsi, un Féminin pourrait être très éloigné géographiquement de son Masculin. Il serait donc moins visible de souligner la manière dont chaque masculin fonctionnerait dans une dynamique polarisée, amplifiée  et complémentaire par rapport à la dynamique du Féminin. Plus la distance les séparerait, plus le matériel traumatique à épurer entre eux serait important. Ainsi, l’éloignement du Féminin et du Masculin, appartenant au même système, empêcherait de mettre en relief les problématiques communes gérées avec des défenses de polarité opposée. Toutefois, chaque homme et chaque femme auraient leur double à polarité complémentaire. Cette logique systémique et énergétique expliquerait alors que le hasard n’existe pas. Chacun attirerait à lui des doubles "âme-sœur" permettant de travailler progressivement et partiellement le matériel traumatique du système âme Jumelle. Il serait alors possible de rencontrer sa moitié d’âme jumelle, à polarité inversée, en fin de parcours lorsque les fragilités égotiques seraient majoritairement épurées dans le duo apparié. Cela signifierait que l’âme pourrait s’incorporer dans plus de deux corps dans les dynamiques âmes sœurs, contrairement à ceux qui vivraient la rencontre âmes jumelle. La densité du matériel traumatique non élaborée par l’âme, pourrait l'obliger à s’incarner dans un nombre de corps plus important que ceux qui vivent le lien âme jumelle. La vibration plus basse des âmes sœurs provoquerait la division plus signifiante de leur âme dans plusieurs corps de ce monde séparé. Il pourrait s'agir de la situation des âmes ayant été piégées dans la "grille" du système matriciel terrien durant de nombreuses incarnations. On pourrait ainsi penser que certaines âmes terriennes auraient pu toutefois s'extraire et restaurer leur vibration d'âme dans des plans plus unifiés pour ne pas se diviser (en échappant aux ruses et à la matrice des systèmes élargis égotiques). Cela pourrait être une lecture systémique fort intéressante.   Toutefois, chaque part d’âme, même divisée, attirerait des contreparties à polarité inversée. Ces « relations aimantées » présenteraient donc, à minima, des problématiques communes, de même intensité et en défense inversée.

mardi 1 mai 2018

Une double polarité du système d'âme ne laissant aucune place au hasard



Capsule vidéo ajoutée sur youtube le 01 Mai  2018

Le hasard existerait-il ? Selon la logique systémique et énergétique, il serait possible de répondre par la négative.  Dans tout système, il y aurait un pôle somatique (yin) et un pôle psychique/Mental (yang). Ces champs différenciés présenteraient, eux-mêmes, une double polarité.

Ainsi, selon une loi systémique, une même problématique narcissique émergerait dans un espace psychique et somatique en attirant en son cœur, des dynamiques défensives complémentaires. Par exemple, une problématique d’hyperactivité relationnelle chez une personne pourrait engendrer une sciatique dans le corps. Une même problématique narcissique conduirait alors à la mobilisation de défenses opposées polarisées dans l'espace psychique et somatique. Dans le champ de l’invisible, la fuite d’une intériorité psychique s’exprimerait par un évitement dans une activité excessive extérieure. Cette dynamique d’hyperactivité relationnelle invisible attirerait donc, en miroir inversé, des paralysies visibles corporelles complémentaires. La personne cumulerait, dans son corps, une tension signifiante afin de se freiner. La force de résistance dans le corps serait d’intensité égale à la force de la fuite dans le relationnel.

Nous retrouvons la même logique à l'intérieur des systèmes relationnels. Ainsi, une personne présentant une problématique psychique singulière attirerait à elle une personne portant la même fragilité. Toutefois, les deux sujets recourraient à des dynamiques défensives complémentaires afin de traiter la même problématique narcissique. Par exemple, un individu pourrait avoir un manque d’affirmation dont il se protégerait par un excès de soumission. Il attirerait, dans son champ relationnel, une personne présentant le même trouble. Toutefois, cet autre se défendrait de cette déficience d’individuation dans une dynamique défensive inverse à la sienne. L’interlocuteur présenterait alors une attitude de domination, d’intensité équivalente, à l’attitude de soumission que le premier manifesterait.

Tout système fonctionnerait donc en double polarité. Dans une logique systémique, il pourrait donc être déduit des phénomènes relationnels et corporels découlant des dynamiques de tout individu.

Dans le champ somatique, des déséquilibres internes pourraient s’exprimer de façon logique à partir des dysfonctionnements relationnels du sujet. Des problématiques interactionnelles invisibles engendreraient des problématiques somatiques visibles. Leur expression se manifesterait dans des dynamiques défensives de polarité inversée. Par exemple, des contractures physiques pourraient se manifester, en réaction polarisée et inversée, chez une personne trop impliquée à un niveau relationnel. Le corps freinerait alors l’hyper-investissement du lien. Une otite pourrait survenir chez un sujet résonant trop au discours d’autrui. Une dépression pourrait stopper un individu trop impliqué à l’endroit d’autrui. Une psychose pourrait perturber une personne sacrifiant son espace personnel à son système d’appartenance. La pathologie l’obligerait alors à se fermer physiquement pour ne plus porter la tension de son groupe. Une phobie relationnelle conduirait la personne à se recentrer sur elle. Des troubles de mémoire désengageraient de champs relationnels trop investis, etc…

Dans le champ psychique, les mêmes logiques en miroir polarisé pourraient se retrouver. Ainsi, une personne masochiste attirerait une personne sadique. Le généreux rencontrerait l’abuseur. La victime se confronterait à l’agresseur. Le permissif attirerait le contrôlant. Les dysfonctionnements complémentaires seraient ainsi de même intensité et s’exprimeraient à l’endroit d’une même problématique narcissique.