La science des systèmes polarisés donnerait sens à la Bible

Tout serait incroyablement logique et partagé entre intérieur et extérieur pour équilibrer ce monde de

matière yang. Il serait alors maintenant aisé de relever les biais fondamentaux des religions, des politiques et de la spiritualité au regard de ces conditions essentielles afin d’harmoniser l’humanité. Ce fonctionnement absolu, sans nuance et partage, de notre monde participerait au déséquilibre des hommes adamiques. Cette tendance à unifier et à uniformiser tout, à pratiquer les codes yin dans un monde yang aurait été la source des difficultés de l’homme depuis la genèse. Certes, ce parcours complexe aurait été inévitable puisque le Divin d’essence yin fondamental, s’expérimentant au travers de l’humanité, devait apprendre et intégrer progressivement les codes yang dans un monde de matière yang.

Ainsi, l’histoire de Lilith, d’Eve ou de Caïn ne relèverait pas du hasard. Le Créateur aurait naturellement, dans la réalisation de sa création, commis des ratées. Quand vous réalisez un beau dessin, vous êtes amené à gommer les imperfections. Celles-ci seraient toutefois de moins en moins signifiantes le long du chemin. Ainsi, l’ébauche de l’œuvre divine laisserait place aux plus grosses anomalies, celle de Lilith, Satan et de la lignée pré-adamique. Lilith présentait, en effet, dans sa conception les énergies hybrides yin/yang dans un corps yang, première erreur fondamentale mais légitime du début de la création. Lilith, d’énergie unifiée fondamentale, n’aurait pas alors assumé son fonctionnement complémentaire à Adam en se révoltant. Eve aurait expérimenté comme son papa Divin yin les difficultés de répartir harmonieusement l’amour 50/50 dans ce monde partagé yang. Eve aurait été alors dupé par Lilith et Satan au travers du serpent démoniaque. Eve aurait enfanté Caïn (suite à cette duperie de Satan), Caïn premier meurtrier de ce monde terrestre.

Cette logique polarisée des systèmes expliquerait les décisions du Divin, paraissant incompréhensibles de première abord, face à Lilith, Caïn et la lignée pré-adamique. En effet, Dieu aurait empêché une Lilith démoniaque de se suicider. De même, il aurait permis l’exil à Caïn ayant pourtant tué Abel son frère. Toutes ces premières figures de la création, dans leurs imperfections signifiantes, portaient sur elles beaucoup de matériel traumatique. Elles avaient commencé à polluer l’humanité et le monde angélique de façon conséquente. Ainsi, les effacer de la création aurait conduit logiquement à provoquer l’extinction de la lignée adamique au même moment. Eve et Adam auraient en effet porté les premiers pêchés de ce monde en touchant à l’arbre de la connaissance interdit. Le Divin aurait vu, en supprimant Lilith et Caïn, mourir sa Création dans son entièreté. La lignée adamique était, elle aussi, contaminée à minima par le matériel traumatique. Dans les premiers temps, avant l’envoi de son fils Jésus, le Divin devait se questionner sur les meilleurs codes à pratiquer dans le monde yang. Lilith avait-elle raison de vouloir conserver son énergie unifiée dans un monde yang ou Adam et Eve étaient-ils les meilleurs représentants de l’équilibre de l’humanité dans leur complémentarité ? Dans les deux lignées, des meurtres et des abus signifiants avaient été commis. Caïn comme Lilith avaient pêché. Ainsi, le Divin aurait été le premier naturellement, avant son fils Jésus, à vouloir croire à la préservation des deux lignées grâce à l’amour inconditionnel. Toutefois, le Divin aurait rapidement compris, lors de l’envoi de son Fils Jésus, que la lignée pré-adamique fabriquait davantage de matériel traumatique en raison de ses dynamiques opposées aux lois naturelles. Jésus aurait, en effet, vécu lors de sa première venue des épisodes de possession dans sa haute vibration. Satan aurait parlé en lui afin de le manipuler ainsi que l’humanité adamique

Sciences Humaines : la genèse de l’humanité codifiée dans l’histoire des duos polarisés

La logique des systèmes polarisés (âmes jumelles) mettrait en relief l’histoire de l’humanité et sa genèse. Ainsi, dans l’univers, tout serait système et sous-système et tout système serait polarisé. L’étude des interactions dévoilerait des règles communes afin de trouver l’équilibre et le bien-être dans tout système. L’analyse relationnelle, accessible à tous, permettrait de dégager ces vérités homéostasiques/d'équilibre et électromagnétiques retrouvées dans tout système (humain comme environnemental). Ainsi, des observations exhaustives permettraient de différencier les relations âmes sœurs de la relation âme jumelle. La relation âme jumelle se vivrait lorsque l’équilibre parfait de l’homme, au fil de son évolution, aurait été atteint dans une affirmation juste auprès de sa moitié polarisée et des systèmes environnants.

Cette lecture interactive, logique et systémique offrirait un regard nouveau sur le sens à donner à la spiritualité et aux religions. Ainsi, la paix intérieure ne pourrait se trouver sans investissement harmonieux sur l’extérieur. Le bonheur de l’homme serait entièrement relié à sa manière d’interagir avec son environnement. Le monde yang de matière et de relationnel revêtirait alors sa dimension fondamentale dans l’équilibre de l’homme. La paix intérieure serait impossible à atteindre sans avoir trouvé en amont l’harmonie dans ses systèmes, c’est-à-dire, la paix sur l’extérieur.

Dans le monde spirituel, les codes seraient inversés et encourageraient l’être à se recueillir en son intérieur pour atteindre le bien-être. Dans cette dynamique, la dimension partagée de notre univers serait complètement déniée. Les hommes polarisés yang seraient conduits à pratiquer les codes unifiés yin et à se déséquilibrer au travers d’approche spiritualisée et religieuse biaisée. N’occultons-nous pas l’essence polarisée de l’homme et de la matière quand nous cherchons à atteindre le nirvana au travers de méditation isolée ou lorsque nous pratiquons la posture sacrificielle de la chrétienté ? En effet, le partage d’amour équitable entre dehors et dedans ne se retrouverait pas dans cette manière d’agir. Soit le monde intérieur serait trop investi par la spiritualité, soit le monde extérieur serait trop investi par la religion. Même si les fonctionnements seraient opposés, le résultat serait le même. Un espace serait négligé : soit le dehors, soit le dedans de l’homme.

Ce constat marquerait un déni et un non-respect de la complémentarité et des limites depuis le début de la création. Certes cet apprentissage d’équilibre dans le monde yang, pour un homme d’essence d'amour unifié, ne pourrait pas se faire en un jour. Toutefois, il serait intéressant d’observer que la spiritualité et les religions auraient participé, volontairement ou involontairement, aux difficultés d’évolution de l’homme dans sa recherche d’équilibre. Cette lecture polarisée de l’univers yang questionnerait par rapport au réel sens à donner quant à la naissance de la spiritualité, des religions et des politiques pratiquant des codes non différenciés et absolus.

Les gnostiques se centreraient davantage sur l’espace intérieur en accédant au Divin par la connaissance de Soi. Les Catholiques se centreraient davantage sur l’amour divin et sur le salut extérieur obtenu dans la relation au Christ. Bref, chaque interprétation religieuse ou spirituelle ne prendrait en compte que la moitié de la vérité de la Bible occultant alors la séparation des espaces dans ce monde polarisé. Par exemple, les gnostiques favoriseraient le savoir et les catholiques favoriseraient l’intelligence de cœur. Pourtant, ce monde partagé yang de matière demanderait à considérer autant l’amour que le savoir comme je vous l’ai souvent dit. De même, les gnostiques ou les spirituels favoriseraient la dimension intérieure de l’être. Tandis que les catholiques, orthodoxes, protestants mettraient l’accent sur le dévouement sur l’extérieur au travers d’un sauveur qui serait le Christ et d’une église médiatrice. Bref, un déséquilibre se créerait dans un espace extérieur ou intérieur privilégié à l’autre partie complémentaire. Dans ce monde polarisé, le dehors et le dedans auraient pourtant autant d’importance. La Bible le révèlerait de nombreuses fois.