samedi 23 juin 2018

Lilith, première création imparfaite entravant le processus de réunion des moitiés créant l'amour ? (partie 2)



Capsule vidéo Youtube du 23 Juin 2018

Ainsi, Lilith aurait été encore plus frustrée que les Féminins actuels de devoir endosser la responsabilité de ce travail premier et essentiel d’affirmation dans ce lien ambitieux. Dans sa double polarité, Lilith n’aurait pas accepté de se mettre au service de son compagnon de même essence unifiée qu’elle. Elle ne pouvait pas se mettre en position complémentaire d’Adam car les deux revêtaient la même nature énergétique et non dissociée. Cette position créatrice et accueillante de Féminine devait s’étayer sur un Masculin aux fonctions essentielles mais opposées aux siennes. Eve et Adam auraient été ces deux créations remodelées à partir d’un modèle d’Adam et Lilith imparfait. Le Divin n’aurait pu raisonner la femme Lilith yin introduit dans un monde yang. Celle-ci aurait été dans l’impossibilité d’emprunter les codes du partage et de la nuance yang afin de revenir auprès d’Adam. Sa nature propre d’être unifié ne lui permettait pas ce retour en arrière. Adam n’aurait pas été celui qui se révoltait car il n’avait pas à assurer les mêmes fonctionnalités dans un corps d’homme. Le couple partageait la même essence unifiée. Toutefois, le corps de femme de Lilith l’aurait contrainte à assurer la fonction plus mentalisée, plus volontaire et plus réceptive du dans le système du duo. Ainsi, elle aurait davantage été soumise aux difficultés consciente d’apprentissage relationnel des mondes yang dans un premier temps. Elle aurait davantage été confrontée à l’ambivalence entre égalité énergétique et inégalité fonctionnelle entre elle et son compagnon. Lilith aurait dû se dissocier entre sa réelle nature unifiée et une position asymétrique du lien dans la matière. Dans sa partie consciente et à l’initiative des avancements, Lilith aurait réalisé plus rapidement qu’Adam la dissonance entre leur essence yin et leur rôle yang. Elle aurait fui rapidement ce déséquilibre en cherchant à transformer le monde yang en monde yin pour résoudre le problème. Ainsi, Lilith se serait entêtée à vouloir changer son environnement plutôt que sa nature énergétique. Elle aurait souhaité, dans une toute puissance, unifié ce monde yang plutôt que de retourner auprès d’Adam. Ainsi, elle n’aurait pas accepté d’entendre la volonté de son créateur et de corriger le déséquilibre. Après tout, Lilith aurait pu devenir cette Eve nouvelle si elle avait entendu l’appel de retour du divin. Elle aurait dépassé et accepté son imperfection première pour s’ajuster et devenir de nature yang. Dans cette volonté à changer le cadre yang en cadre yin dans ce monde polarisé, Lilith aurait défié toutes les lois de l’univers. Elle aurait voulu se faire plus imposante que les codes de l’existence. Même le Divin aurait accepté ces règles énergétiques pour continuer d’explorer le monde manifesté.

Lilith, par contre, aurait été en rébellion par rapport à la création. Elle prétendrait ne pas avoir à changer sa nature énergétique et modeler son environnement de matière yang à ses codes angéliques obscurs yin. Ainsi, elle voudrait transformer ce monde polarisé en un monde unifié. Elle voudrait amener le ciel sur la terre. Comme le symbole systémique yin et yang le met en relief, cette dynamique universelle est anti-naturelle. Les éléments yang n’appartiennent pas à l’espace yin. C’est une condition essentielle à l’équilibre de l’univers. Même le Divin se serait ajusté à cette règle d’épanouissement de sa partie autonome et manifestée. Tous ces sectes new-âge, que l’on voit fleurir à l’heure actuelle, appliqueraient ainsi les codes unifiés dans un monde de matière. Cette volonté d’imposer les codes yin dans un monde yang ne serait que la transposition de l’esprit rebelle de Lilith. Les anges déchus ne pourraient jamais faire de cette belle matière leur lieu de vie en tenant en esclavage l’humanité éternellement. Les lois de l’équilibre seraient bien plus puissantes que ce que ces forces faussement divines veulent bien entendre. Dans ce monde de densité, le temps serait un allié pour mettre en relief cette belle vérité des lois homéostasiques. Même Dieu l’aurait compris très tôt en créant Eve ! Simplement, le monde yang est un monde d’apprentissage. Il fallait donc expérimenter suffisamment longtemps cette réalité pour l’intégrer. Dieu laisserait ainsi régner Lilith et ses sectes le temps nécessaire aux prises de conscience de l’humanité. La libération progressive et non fulgurante du matériel traumatique serait une condition essentielle, dans ce monde yang, pour dévoiler l’essence et l’équilibre de toute âme. Dieu le père transmettrait graduellement à ses enfants de l’humanité (en respectant les codes yang) ce qu’il aurait appris de ses erreurs premières de création.  Les codes unifiés ne sont pas à appliquer dans un monde polarisé. Même si le Divin avait respecté la constitution de deux corps différents dans ce monde de matière, Adam et Lilith devaient aussi avoir une énergie prédominante complémentaire. Dans premières ébauches de la création, ce ne fut pas le cas. L’homme aurait été de nature unifiée dans ses énergies. Ce qui aurait posé problème. Ne peut-on pas penser que même cette erreur était une création parfaite du plan divin pour remonter à nos origines ? En effet, je vous dis souvent que dans le symptôme, il y aurait la clé du bonheur. Ainsi, ce matériel traumatique serait placé, sans aucun hasard sur notre chemin pour nous révéler plus vite le vrai et le divin. Dans ce monde de densité et imparfait, on apprend de ses erreurs et on est soumis à un rythme changeant, non régulier dans les apprentissages. Même Lilith n’aurait pas été créée par erreur afin de nous donner des indices bruyants de la loi de l’équilibre et du bien-être dans ces mondes polarisés. Comble des paradoxes propres à ce monde yang : ces forces sectaires et « Lilithienne » activeraient la mise en lumière de beaucoup de clés. Elles donneraient, involontairement et dans leur mise à nue de plus en plus grossières, dévoileraient leur sens chaotique pour nous aider à revenir plus rapidement aux codes de l’équilibre.

Lilith, première création imparfaite entravant le processus de réunion des moitiés créant l'amour ? (partie 1)



Capsule vidéo youtube du 23 Juin 2018 

Dans des écrits non introduits dans la Bible, Lilith aurait été la première femme d’Adam. Lilith aurait été créé à l’image d’Adam sur un versant unifié yin avec deux pôles énergétiques confondus. Ainsi, Lilith aurait été l’égal d’Adam à un niveau énergétique. Elle ne serait pas sortie de la cote d’Adam contrairement à Eve. Lilith aurait été bipolaire et non dissocié dans ses énergies alors qu’Eve aurait été d’énergie yang prédominante. Ainsi, la création de Lilith, dans le monde de la matière, aurait créé une anomalie et un déséquilibre des pôles. Cet être yin dans ce paradis manifesté yang aurait fait intrus dans le décor. Le monde polarisé demandait la création de deux corps de nature énergétique différente pour introduire la dualité et la complémentarité. La sorite d’Eve de la côte d’Adam ne symboliserait-elle pas alors cette césure entre le pôle féminin et le pôle masculin.

Dans la Genèse, il est dit que : "L’Eternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit ; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme".

Ainsi, du « yin primordial » qu’aurait représenté cet Adam « premier de la lignée pré-adamique », l’énergie yin et yang secondaire aurait été séparée. Adam « amputé de sa côte » aurait symbolisé ce yin secondaire et Eve « née à partir de la côte d’Adam » aurait symbolisé ce yang secondaire.

La Source aurait été amenée à corriger son erreur d’avoir introduit des anges unifiés dans un monde de matière polarisé. Lilith, en effet, n’aurait pu se soumettre à ces rôles complémentaires définis entre elle et son compagnon. Dans sa position de Féminine, elle aurait dû alors comme toute âme féminine acceptait les codes linéaires propres à ce monde. Ces règles systémiques reposent sur la nécessité du Féminin de s’engager dans un travail solide de création afin que le Masculin la suive sur ce chemin méritant. Comme dans un système psychique, l’inconscient/Masculin ne peut gérer sa part de matériel traumatique si en amont le conscient/ Féminin n’a pas décidé courageusement de l’élaborer.

Le Féminin devrait donc se mettre au service du Masculin pour faire un travail de partenariat complémentaire et créatif. Lilith n’aurait-elle pas été cette première femme d’origine angélique en difficultés d’accepter ces codes duels/partagés de par son essence unifiée ? Les âmes féminines auraient à l’heure actuelle cette même contrainte d’accepter d’initier les élaborations douloureuses de la relation divine. Les Féminins se plaindraient souvent de se sentir seule à défendre le lien pour que celui-ci soit préservé. Ce ne serait qu’une illusion car le Masculin agirait dans l’ombre pour porter le matériel traumatique et maintenir l’intégrité du système âme Jumelle. En tant que partie inconsciente, le Masculin ne pourrait toutefois pas mettre en relief son travail tout aussi méritant.

Ainsi, Lilith se serait opposée à servir Adam. Dans sa posture unifiée yin, il lui aurait été encore plus difficile d’assumer ce rôle Féminin que les descendantes d’Eve. En effet, les âmes féminines seraient déjà éprouvées de cette fonction affirmée yang à tenir auprès du Masculin. Toutefois, elles présenteraient une énergie prédominante complémentaire à l'âme masculine permettant un cheminement progressif dans l’épuration de leur problématique relationnelle. Concernant Lilith, la séparation avec Adam, suite à sa révolte identitaire, n’aurait pu aboutir à un retour auprès de lui. D’essence unifiée et non dissociée dans ses pôles, Lilith n’aurait pu gérer les conflits des mondes séparés dans un temps présent. Dans ce monde de densité, la nécessité de séparer les énergies féminines et masculines dans deux corps séparés seraient essentielles au traitement graduel des problématiques relationnelles.

Lilith, dans ses codes yin, n’aurait pu s’ajuster adéquatement aux codes du partage yang du monde de la matière. Eve, de polarité yang aurait alors été créée par le Divin afin d’élaborer, par son mental affiné, les difficultés interactionnelles de la création. Grâce à un masculin portant le matériel inconscient lourd, l'âme féminine aurait développé des habiletés intellectuelles signifiantes pour harmoniser le lien à autrui au fil du temps. Aujourd’hui, il serait ainsi possible pour les âmes de nature polarisée de gérer la séparation. Elles épureraient progressivement et dans la complémentarité le matériel traumatique nécessaire à leur réunion. Lilith n’aurait pas su gérer les contraintes spatio-temporelles de ce monde de densité. Son essence yin l’aurait engagée dans des dynamiques impulsives et non partagées entravant toute possibilité de retrouvailles avec Adam. Ainsi, Lilith aurait été encore plus frustrée que les Féminins actuels de devoir endosser la responsabilité de ce travail premier et essentiel d’affirmation dans ce lien ambitieux. Dans sa double polarité, Lilith n’aurait pas accepté de se mettre au service de son compagnon de même essence unifiée qu’elle. Elle ne pouvait pas se mettre en position complémentaire d’Adam car les deux revêtaient la même nature énergétique et non dissociée. Cette position créatrice et accueillante de Féminine devait s’étayer sur un Masculin aux fonctions essentielles mais opposées aux siennes.


mercredi 20 juin 2018

Tout est changeant sauf le changement !



Capsule vidéo Youtube du 20 Juin 2018

Dans ce monde de densité, tout est changeant sauf le changement. En effet, la création serait en constant mouvement. L’homme travaillerait, de façon continue, le partage d’amour entre lui et autrui. Il travaillerait sans cesse l’équilibre entre individuation et partage relationnel. Ainsi, l’homme créerait en permanence du matériel traumatique dans cet ajustement constant et imparfait. Il apprendrait toutefois de mieux en mieux à s’approcher du 50/50. Le manque serait donc propre à ce monde yang. Lorsque nous sommes à un endroit particulier, nous ne pouvons pas être simultanément « ailleurs » dans ce monde partagé. Ainsi, l’investissement ne pourrait pas être plein dans cette matière, il serait parcellaire. A force d’isolement, le besoin de se tourner vers l’extérieur se ferait ressentir. De même, lors d’une immersion dans le bain relationnel, il y aurait tendance à vouloir retrouver, dans un après coup, son espace personnel. Le manque s’exprimerait inévitablement soit au dehors, soit au-dedans puisqu’il n’y aurait pas possibilité d’être aux deux endroits au même moment.

Les tensions seraient donc légitimes puisque les contraintes temporelles interféreraient dans ce monde yang. De même les facteurs spatiaux, dans ce monde partagé, impliquerait un travail d’équilibrage constant entre dehors et dedans. Dans un univers polarisé, la répartition parfaite et continue ne pourrait être établie. Chaque éloignement du 50/50 créerait des incomplétudes et des souffrances. Ainsi, le matériel traumatique se manifesterait lorsque le moindre déséquilibre entre les deux pôles s’exprimerait. Bien sûr, plus l’homme évoluerait dans ses habiletés mentales, mieux il gérerait les dysharmonies et plus il enrayerait ce matériel traumatique rapidement. Le manque, le désir, les résistances ou les émotions seraient donc inhérents à ce monde spatio-temporel. Ces sensations appartiendraient au monde yang. Les censurer en pratiquant le détachement spirituel, dans des codes unifiés, ne pourrait qu’engendrer des déséquilibres. Dans ce monde spatio-temporel, les forces répulsives et attractives seraient dans des danses constantes pour s’harmoniser entre elles. Leur interaction induirait le mouvement, les décalages et des tensions.

Le monde polarisé serait donc régi par des oscillations entre temps de contractions lors des déséquilibres et temps de décharge et de détente secondaires. Cette dynamique permettrait la libération progressive du matériel traumatique. Le rythme cardiaque symboliserait d’ailleurs le pouls du monde yang. Pour s’apaiser, ne doit-on pas pratiquer des inspirations et expirations régulières ? Les passages à l’acte ou l’orgasme représenteraient aussi ce mouvement de détente nécessaire et succédant à un mouvement de contraction optimal. Dans cet optique, lorsque les problématiques non réglées satureraient dans ce monde yang, elles indureraient obligatoirement une décharge libératrice à long terme. Comme un élastique qui à force de se tendre (sur ses deux extrémités polaires) lâcherait et retrouverait un point d’équilibre harmonieux. Toute tension trouverait ainsi sa résolution dans un mouvement intuitif d’extension secondaire et de protection de l’organisme. Lorsque vous aimez, lorsque vous donnez un baiser, vous compressez bien la joue de l’autre avant de la relâcher. Ainsi, le Soi authentique, dans ce monde polarisé, s’exprimerait intuitivement par ce mouvement régulier et oscillant entre forces d’attraction et force de répulsion. Le mouvement serait donc la condition essentielle pour soulager les souffrances et manifester son amour dans cet espace matérialisé.
Tout dans cet univers, du baiser à la sexualité, du Masculin au Féminin, solliciterait l’interaction de ces deux champs de forces opposés pour épurer le faux et incarner le vrai, notre essence authentique. Ainsi, il y aurait une quête constante afin de revenir à l’harmonie parfaite dans cette danse énergétique rythmée. Chaque manifestation créerait, en effet du matériel traumatique, à neutraliser régulièrement par un mouvement de contraction et de libération. Le symptôme ne condenserait-il pas d’ailleurs, dans un premier temps, le stress périphérique (contraction) et ne donnerait-il pas, dans un second temps, les codes fonctionnels à pratiquer pour s’en libérer (détente) ?

Le désir succéderait au manque. Le soulagement succéderait à l’effort. Le vrai succéderait au faux. L’intense succéderait au fade. L’émotion positive succéderait à l’émotion positive (après la pluie, le beau temps). Ainsi, il ne pourrait pas être envisagé l’incarnation de l’amour inconditionnel sans ce constant processus de mouvance entre deux forces opposées. Dans ce monde yang cherchant son équilibre, tout serait changeant sauf le changement. Il ne serait donc pas adéquat de refréner nos émotions, nos désirs, nos attachements, nos manques puisqu’ils seraient légitimes dans ce monde. Ils seraient les ingrédients indispensables à notre bonheur dans la matière. Simplement, il s’agirait de mieux les gérer en affinant nos compétences à équilibrer les deux pôles énergétiques de ce monde manifesté. Ainsi, le matériel traumatique serait moins signifiant au fil de l’avancement car son épuration serait davantage maîtrisée. De façon logique, l’homme retrouverait sa flamme jumelle au fil de ses progressions. La moindre fragilité serait alors réveillée et amplifiée par la flamme masculine pour être libérée. Ainsi, la saturation optimale de la problématique serait rendue possible par sa mise en relief excessive dans ce lien hautement vibrant. Tout serait parfait pour induire ce mouvement de contraction et de relâchement nécessaire à la libération du matériel traumatique le plus enraciné.

Plus le lien serait vibrant, plus il serait possible d’extraire le matériel traumatique de la relation en le pensant, en agissant et en s’affirmant graduellement et adéquatement. La présence de l’autre ne serait plus ainsi nécessaire pour élaborer les problématiques personnelles. La vibration d’amour incarnerait de plus en plus l’homme. Son essence profonde prendrait progressivement de la force pour étouffer ce qui n’est pas lui : la peur. L’équilibre vibrant du système âme (incluant le duo de flammes jumelles) se stabiliserait au fil du temps et enrayerait rapidement toute ré-émergence de dysfonctionnements. L’homme incarnerait l’amour inconditionnel des mondes divins. Toutefois, le manque induit par l’éloignement physique (dans cette densité) demanderait des rapprochés physiques réguliers entre les deux flammes. Le désir, merveilleux ressenti de ce monde yang, serait ainsi en permanence attisé par la dualité. Ainsi, le désir et le manque se maintiendraient dans ce monde changeant afin de découvrir le bonheur de toujours apprendre, d’évoluer et de vivre pleinement. L’intensité des couleurs de la matière pourrait alors être goûtée en permanence grâce à ce paradoxe déstabilisant de pouvoir vivre l’incomplétude régulière pour toujours mieux progresser dans son bien-être.

Ainsi, le divin expérimenterait ce qu’il n’est pas pour explorer, de la manière la plus étendue, les mystères de l’existence duelle. Le divin découvrirait l’intensité des extrêmes et des passions naissant des frustrations. Ces sensations ne pourraient, en effet, se vivre qu’en expérimentant le manque transitoire pour revenir à un plein orgasmique, pépite précieuse dans ce monde yang.