mardi 22 octobre 2019

Le dernier puzzle à poser pour sortir des abus unifiés


Le 22 0ctobre 2019

Cette réalité psychologique serait particulièrement visible sur les réseaux quand il serait abordé le sujet âme jumelle. Des affirmations aberrantes et gratuites seraient posées sur le net sans qu’il soit demandé d’étayage solide et justifié de ce qui est avancé par les informateurs. Derrière une façade apparente de savoir, les intervenants à la rhétorique douteuse ne présenteraient pas de titres et de connaissances fondées si ce n’est ceux de l’intelligence manipulatrice. Ce n’est pas parce que les termes de discernement, de sciences, de raison ou de sagesse seraient utilisés par ces profiteurs qu’ils incarneraient ces valeurs. Certaines théories scientifiques seraient censées avoir été validées par des observateurs ou des chercheurs fiables. Pourtant la logique implacable des systèmes polarisés, après synthèse exhaustive, démontrerait que beaucoup de choses sont inexacts et illogiques. D’ailleurs, ce n’est pas parce que vous créeriez un groupe de recherche que ce que vous y poseriez serait structuré et vous demanderait de l’honnêteté. Les conditions pour fonder sa petite association ou au contraire sa grande entreprise ne donneraient aucune garantie de sagesse et de lucidité bienveillante quand on y réfléchirait. Dans les milieux spirituels, scientifiques ou autres, ces faits aberrants seraient parfaitement exploités à des fins narcissiques.

Devant ces constats, l’homme devrait ainsi se référer à ses alliés les plus solides : son cœur et son mental pour aller à la rencontre de ces vérités désaliénantes. Il aurait actuellement à sa disposition toutes les données pertinentes pour faire ce travail et se désaliéner des abus. Au cours de ces explorations impliquées, chacun pourrait alors constater la manière dont l’esprit spirituel n’envahirait pas nos sociétés actuelles de manière hasardeuse.  Les codes unifiés, dans ce monde polarisé, mettraient en relief leurs dimensions déstructurantes et déséquilibrantes. Ces faits seraient prouvables. Bien sûr, dans mes premiers articles, j’ai beaucoup insisté sur le fait que ces codes unifiés n’auraient pas la même résonance sur un homme ou une société d’ouverture de conscience différente. Plus une personne ou un groupe aurait avancé sur ce chemin d’équilibrage, moins il aurait le droit à l’erreur. Ainsi, pratiquer les codes spiritualisés ou unifiés n’aurait pas les mêmes conséquences sur un individu selon son niveau de sensibilité et d’éveil psychique.

Une personne, endormie dans son essence, ne ressentirait pas d’impact majeur sur son existence lorsqu’elle ferait une séance de méditation ou un soin énergétique. Au pire, elle s’endormirait car elle ne serait pas réceptive à tout ce champ extrasensoriel existant autour d’elle. Par contre, une personne accédant à un haut magnétisme de conscientisation, se verrait en en difficultés croissantes dès qu’il pratiquerait les codes déséquilibrants. Lorsque la psyche serait réveillée, elle saturerait plus rapidement des mauvais codes empruntés pour reprendre le chemin structurant plus efficacement. En psychothérapie, ce phénomène serait particulièrement visible. L’être authentique ou un groupe, de plus en plus incarné, manifesterait des symptômes plus bruyants afin de permettre un recadrage plus efficace maintenant que sa solidité identitaire pourrait l’assurer.

Toute cette logique des systèmes polarisés serait parfaitement fiable. Elle s’étayerait sur la mobilisation d’un mental solide et d’observations concrètes confortant ces faits déductibles. Comme dans un jeu vidéo, l’impact des erreurs au niveau 9 (vitesse accélérée) du chemin serait bien moins négligeable qu’au niveau 1 (vitesse croisière). Le matériel traumatique réveillé d’une collectivité serait signifiant lorsqu’elle aurait atteint un haut de niveau de conscientisation et qu’elle continuerait de pratiquer les mauvais codes d’équilibrage. En cette ère actuelle, ce fait systémique et magnétique mettrait en relief combien il serait imprudent de maintenir les codes unifiés dans un monde polarisé se réveillant à leurs dimensions dysfonctionnelles. Ainsi, l’ère de la spiritualité ou de l’unification, en général, serait la meilleure arme du mal actuellement pour tenter de freiner ou de court-circuiter dangereusement l’avancement d’hommes en plein réveil. Concrètement, il était moins nuisible de faire une méditation il y a 50 ans qu’aujourd’hui ! De même, le blocage du mental n’aurait pas les résonances selon le contexte dans lequel il interviendrait. Dans un cadre chirurgical où les constantes vitales d’un homme seraient contrôlées rigoureusement par les compétences des soignants, bloquer le mental par l’hypnose, pour empêcher la douleur, ne serait pas problématique. Il ne faudrait toutefois pas oublier que la douleur serait la meilleure protection de l’homme pour s’adapter à la situation en cas de danger. Dans cet exemple, l’importance de prendre en considération le contexte d’une situation serait particulièrement mise en relief comme la systémique peut tous les jours le démontrer. La douleur ou la peur seraient les signaux sensoriels que le mental capterait afin d’informer de la présence du matériel traumatique dans le champ périphérique. Si l’homme bloquerait son mental pour des questions de confort, il faudrait donc qu’il soit assuré que son environnement est sécurisant en amont. Quand il serait neutralisé la fonction fondamentale du mental pour des raisons secondaires, il faudrait donc que l’homme puisse prendre le relais durant ce « temps de pause » de ce baromètre vital et protecteur.

Ainsi, les techniques unifiées comme l’hypnose ou la méditation, se présenteraient comme des addictions soulageant ponctuellement la tension en bloquant le mental. En tant qu’anesthésiant dans une situation d’inconfort transitoire et contrôlé, les risques de lâcher-prise seraient moins importants.  Toutefois, cet apaisement artificiel pourrait être plus dangereux quand il se répéterait régulièrement et qu’il ciblerait des douleurs plus élargies, moins palpables. Des douleurs psychiques seraient, en effet, plus conséquentes dans leurs répercussions sur du long terme lorsqu’elles seraient longtemps endormies / plutôt que par rapport à une souffrance physique qui serait tue passagèrement. A savoir que toute souffrance physique serait psychosomatique, toute maladie s’originerait d’un déséquilibre systémique/relationnel ayant perduré. Plus le symptôme somatique serait signifiant, plus il aménagerait des contraintes importantes pour rétablir l’équilibre face à un déséquilibre interactionnel qui se serait maintenu voire accentué.

Cette « fausse sérénité » que vendrait les pratiques unifiées et ritualisées  étoufferait alors les problématiques relationnelles/narcissiques sous-jacentes fondamentales à régler chez l’homme pour sa protection et son bien-être. De plus, en cette heure de haute conscientisation et de haut bouleversement de l’humanité, le blocage du mental serait de moins en moins anodin même pour court-circuiter ponctuellement les douleurs physiques. Quand l’homme maintiendrait un faux équilibre dans un environnement chamboulé (transitoirement donc déséquilibré et insécurisant), il ne contrôlerait plus son avancement à un moment où il devrait accélérer le pas de ses élaborations psychiques et de ses confrontations à ses peurs. L’homme se ferait alors moins vigilant dans un contexte où il devrait être plus vigilant au matériel traumatique élevé et aux dynamiques abusives se manifestant dans une humanité se réveillant/ se désaliénant de ses chaînes. Dans un environnement traumatique et à haut magnétisme, des virus biologiques mais aussi énergétiques pourraient plus facilement s’introduire. Ainsi, l’hypnose, comme toute technique unifiée, pourrait être la porte d’entrée facilitatrice des abuseurs de tout milieu : des systèmes externes les plus manifestes aux systèmes internes/énergétiques les moins palpables. Dans un monde s’ouvrant en conscience, des infections mais aussi des possessions égotiques contamineraient plus facilement l’homme non suffisamment avancé sur son chemin. En effet, les techniques unifiées ne feraient qu’accélérer le pas d’un chemin de confrontation ambitieux à réaliser pour se défaire de ses fragilités personnelles. L’homme pourrait alors être facilement débordé par ses souffrances ré-émergeant en masse et se complexifiant de ce fait. La vie connaîtrait le bon tempo pour confronter l’homme à ses difficultés. Elle lui présenterait graduellement les relations et les situations contraignantes afin de l’aider à évoluer, de façon adaptée, dans son affirmation. Pas besoin d’accélérer le pas au travers des techniques artificielles et facilitantes où l’homme voudrait se faire plus grand que le Créateur !  A vouloir tricher avec la nature, l’homme ne pourrait qu’être déçu du résultat.  Lors d’une montée en conscience collective inéluctable, il ne serait pas étonnant, par exemple, de constater (de plus en plus régulièrement) l’aggravation des problématiques psychiques/égotiques d’une personne suite à un acte médical posé sous hypnose. La remontée de matériel traumatique serait consistante chez un homme forcé, de manière unifiée, dans son réveil intérieur et vivant de plus les événements apocalyptiques de son temps.  Il n’aurait plus alors la barrière du mental protecteur pour gérer le rythme et les dangers s’accentuant dans un monde pratiquant de plus en plus les codes du déséquilibre.

Ainsi en cette ère de transformation importante, l’homme comprendrait que la majorité des données intégrées, dans son histoire relationnelle, serait fausse. Beaucoup de faits, de théories, de calculs, de raisonnements transmis comme des vérités inébranlables pourraient facilement être contredites aujourd’hui par la logique fiable des systèmes polarisés et par l’expérimentation de chacun. Rassurons-nous, la qualité prévaudra toujours à la quantité, des minorités structurées pourront toujours contrôler des majorités déstructurées. Dans un monde où tout est système polarisé, la force énergétique du Bien devancera toujours la force énergétique du mal dysfonctionnant en miroir inversé. Ainsi, la porte serait étroite mais inattaquable pour ceux pratiquant les vrais codes du mérite et du partage. Il serait ainsi inutile de vouloir convaincre le plus grand nombre ou ceux qui seraient au-devant de la scène pour avancer. D’ailleurs, l’homme sage ne serait ni au milieu de tous ni au milieu des élites. Sa force serait celle d’une affirmation équilibrée et non corrompue aux codes facilitants des masses égotiques. Pour être protégé, l’homme devrait simplement avoir de grandes ouvertures de conscience. Pour cela, le mérite et les vraies valeurs de cœur seraient réclamés de lui. Ils l’aideraient à construire un bouclier électromagnétique, engendré par sa haute conscientisation. Son espace serait alors hermétique à tout matériel traumatique provenant des systèmes abusifs. Le Bien se reconnaîtrait dans le fait qu’il n’aurait pas à dépendre du fonctionnement du mal, même majoritaire, pour se déployer et prendre le dessus. Dans son essence, le Bien n’aurait d’affinités qu’avec des systèmes justes et de partage. Le Bien devrait donc lâcher sur l’idée de vouloir convaincre, de vouloir forcer sa présence chez les systèmes égotiques ou les systèmes endormis. Seul l’homme aurait le libre-arbitre d’intégrer ou non les informations pertinentes qui lui seraient transmises de l’extérieur. Cette autonomie garantirait toutefois à chacun la possibilité d’avancer même si la plus grande partie du monde ne voudrait pas avancer. La qualité énergétique d’un système ne dépendrait du niveau de cheminement des systèmes périphériques mais de son propre niveau de conscientisation. Ceci serait encore démontrable par la logique des systèmes polarisés. Une minorité d’hommes équilibrés ne dépendrait donc pas d’une majorité d’hommes égotiques. Cette réalité parfaite donnerait sens au vraies valeurs du Bien, de la Justice et du mérite.  Il serait toutefois à relever que les codes du partage, entre hommes de cœur et sagesse, seraient les clés afin d’accéder à une haute conscientisation. Ainsi, ces dynamiques systémiques et électromagnétiques préserveraient le Bien des nuisances d’un mal dont il ne serait pas dépendant. De plus, le Bien serait attiré magnétiquement par le partage avec des systèmes de même valeur et mérite accroissant ses pleines connaissances d’équilibre.

Ainsi, les systèmes égotiques penseraient, dans leur grand orgueil, pouvoir prendre le dessus par leurs nombres et aussi par leur pouvoir reconnu sur un grand nombre. Pourtant la logique énergétique/structurée du cœur et de la raison mettrait, en relief de manière indéniable, que seuls les réelles êtres équilibrés et méritants seraient à l’abri magnétique des résonances traumatiques en période apocalyptique (rééquilibrage du grand système existentiel) !