mercredi 10 octobre 2018

La genèse de l'humanité codifiée dans l'histoire du duo (partie 4)



Capsule vidéo youtube du 10 Octobre 2018

Ce qui serait décrit dans la Bible suivrait parfaitement la logique des systèmes et la manière dont l’ouverture de conscience de l’humanité devrait se faire. La Bible parlerait du jugement dernier, de séparer le bon grain du mauvais, elle parlerait de ceux qui seraient inscrits dans le livre de la vie, elle parlerait de ceux qui mourront en portant la "marque" égotique de la bête, elle évoquerait les lâches, les menteurs, les abominables, les enchanteurs, les impudiques et ceux pratiquant la magie et l’idolâtrie. Bref, beaucoup d’allusions seraient faites afin de différencier ces deux lignées dont l’une serait destinée à s’éteindre.

Lorsque l’on fait un beau dessin, il est logique de ne pas le réaliser en un seul trait. Ainsi, les erreurs sont inévitables et doivent se rectifier subtilement sans absolu. L’œuvre ne pourrait autrement jamais voir le jour. Lorsque votre enfant naît, s’il a un handicap le rejetez-vous ? Notre papa Divin, d’énergie yin  Fondamental d’amour, aurait mobilisé tout son cœur dès les premiers temps de la genèse pour aimer et aider toutes ces créations à avancer. Bien sûr, il n’aurait rejeté aucun de ses enfants tant qu’il n’était pas sûr de pouvoir tous les sauver. Dans son corps de matière yang que serait l’humanité, le Divin (Jésus) expérimenterait et comprendrait le premier. Pourtant, il serait soumis aux mêmes erreurs d’apprentissage que l’humanité. Ses synthèses et prises de conscience, en amont, lui permettraient alors d’aider dans un second temps ses enfants à mieux gérer le chemin. C’est pourquoi, il aurait envoyé Jésus et Marie-Madeleine deux fois. Le duo serait hautement vibratoire car il réunirait les expériences et les énergies des hommes les plus évolués.

Ainsi, le hasard n’existerait pas. L’évolution de l’humanité aurait une logique systémique. Lors de la Genèse, il aurait été logique qu’Eve et Adam aient touché à l’arbre de la connaissance. Le duo constitue, en effet, l’énergie yang de matière. Il serait naturellement attiré par un savoir d’essence yang. Lilith et Satan ne seraient pas, non plus, une erreur de la création qui aurait pu être évitée. Le mal inévitable serait au service de l’apprentissage nécessitant efforts et contraintes durant le chemin. Le matériel traumatique serait obligé d’apparaître à chaque fois que nous créons et que nous nous perfectionnons dans l’expression de l’amour incarné. Bien sûr, cette souffrance, cette persécution des justes s’éteindrait obligatoirement au fil du partage plus équilibré d’amour dans ce monde polarisé. Ainsi, cette lignée pré-adamique aurait parasité la lignée adamique dès la genèse afin de la ramener à la connaissance de ses origines. Bien sûr, ces êtres unifiés l’auraient fait involontairement, à leur dépend et sous le contrôle du Divin. Ces êtres de peur, malgré leur perversion, seraient au bout du parcours les sacrifiés nécessaires à la création du paradis sur terre.

L’inversion des pôles ne traduirait-elle pas alors en cette ère actuelle un retournement de situation ? Comme il a déjà été évoqué, cette inversion parlerait du paradis céleste se transformant en paradis terrestre. Cette inversion parlerait des illusions de la matière où le faux révélerait le vrai au fil de l’épuration du matériel traumatique. L’inversion des pôles parlerait également des bourreaux pré-adamiques qui seraient les sauveurs et les créateurs, malgré eux, du bonheur de la lignée adamique en fin de parcours. Ces êtres pervertis se seraient échinés à maintenir les belles consciences dans l’ignorance depuis le début de la Création. Ils auraient tragiquement croulé sous un matériel traumatique qui les auraient empêchés de réaliser que c’était eux les aveugles et les dindons de la farce. Portant les pires pêchés en eux de par leur essence imparfaite, leur orgueil et leur méchanceté les auraient dupés et condamnés dans une forme d’auto-sabotage. Ils n’auraient pu alors prendre conscience que depuis la genèse ils participaient, malgré à eux et inconsciemment, à l’épanouissement de l’homme adamique. N’y aurait-il pas là l’expression de la justice divine et un pied de nez sublime exprimé par papa Divin ? Une inversion polarisée des rôles et des valeurs, l’arroseur arrosé ou encore le bourreau sauveur malgré lui ?