Capsule vidéo youtube du 8 0ctobre 2018
L’histoire actuelle des âmes jumelles/moitiés d'âme mettrait en relief l’histoire de l’humanité et sa genèse. Ainsi, dans l’univers, tout serait système et tout système serait polarisé. L’étude des interactions dévoilerait des règles communes afin de trouver l’équilibre et le bien-être dans tout système. L’analyse relationnelle, accessible à tous, permettrait de dégager ces vérités homéostasiques/d'équilibre et électromagnétiques retrouvées dans tout système (humain comme environnemental). Ainsi, des observations exhaustives permettraient de différencier les relations âmes sœurs de la relation âme jumelle. La relation âme jumelle/polarisée se vivrait lorsque l’équilibre parfait de l’homme, au fil de son évolution, aurait été atteint dans une affirmation juste auprès de sa moitié polarisée et des systèmes environnants. Jésus serait autant le fils du Divin (Yin) que fils d'homme (yang).
Cette
lecture interactive, logique et systémique offrirait un regard nouveau sur le sens
à donner à la spiritualité et aux religions. Ainsi, la paix intérieure ne
pourrait se trouver sans investissement harmonieux sur l’extérieur. Le bonheur
de l’homme serait entièrement relié à sa manière d’interagir avec son
environnement. Le monde yang de matière et de relationnel revêtirait alors sa
dimension fondamentale dans l’équilibre de l’homme. La paix intérieure serait
impossible à atteindre sans avoir trouvé en amont l’harmonie dans ses systèmes,
c’est-à-dire, la paix sur l’extérieur.
Dans
le monde spirituel, les codes seraient inversés et encourageraient l’être à se
recueillir en son intérieur pour atteindre le bien-être. Dans cette dynamique,
la dimension partagée de notre univers serait complètement déniée. Les hommes
polarisés yang seraient conduits à pratiquer les codes unifiés yin et à se
déséquilibrer au travers d’approche spiritualisée et religieuse biaisée. N’occultons-nous
pas l’essence polarisée de l’homme et de la matière quand nous cherchons à
atteindre le nirvana au travers de méditation isolée ou lorsque nous pratiquons
la posture sacrificielle de la chrétienté ? En effet, le partage d’amour
équitable entre dehors et dedans ne se retrouverait pas dans cette manière d’agir.
Soit le monde intérieur serait trop investi par la spiritualité, soit le
monde extérieur serait trop investi par la religion. Même si les fonctionnements
seraient opposés, le résultat serait le même. Un espace serait négligé : soit le
dehors, soit le dedans de l’homme.
Ce
constat marquerait un déni et un non-respect de la complémentarité et des
limites depuis le début de la création. Certes cet apprentissage d’équilibre
dans le monde yang, pour un homme d’essence d'amour unifié, ne pourrait pas se faire en
un jour. Toutefois, il serait intéressant d’observer que la spiritualité et les
religions auraient participé, volontairement ou involontairement, aux difficultés d’évolution de l’homme dans sa
recherche d’équilibre. Cette lecture polarisée de l’univers yang questionnerait par
rapport au réel sens à donner quant à la naissance de la spiritualité, des
religions et des politiques pratiquant des codes non différenciés et absolus.
Les gnostiques se centreraient davantage sur l’espace
intérieur en accédant au Divin par la connaissance de Soi. Les Catholiques se
centreraient davantage sur l’amour divin et sur le salut extérieur obtenu dans
la relation au Christ. Bref, chaque interprétation religieuse ou spirituelle ne
prendrait en compte que la moitié de la vérité de la Bible occultant alors la séparation
des espaces dans ce monde polarisé. Par exemple, les gnostiques favoriseraient le savoir et
les catholiques favoriseraient l’intelligence de cœur. Pourtant, ce monde
partagé yang de matière demanderait à considérer autant l’amour que le savoir
comme je vous l’ai souvent dit. De même, les gnostiques ou les spirituels
favoriseraient la dimension intérieure de l’être. Tandis que les catholiques,
orthodoxes, protestants mettraient l’accent sur le dévouement sur l’extérieur
au travers d’un sauveur qui serait le Christ et d’une église médiatrice. Bref,
un déséquilibre se créerait dans
un espace extérieur ou intérieur privilégié à l’autre partie complémentaire.
Dans ce monde polarisé, le dehors et le dedans auraient pourtant autant
d’importance. La Bible mettraient en relief ces principes d'équilibre existentielles.